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Le processus de l’apparition d ‘une nouvelle dynamique politico-judiciaire  désignée « Convergence 92 » est  en cours  depuis Paris, ville des lumières, capitale du Congo libre.

Sous la coordination  de Maître Amédée Bernard NGanga, avocat au barreau de Paris, ancien enseignant chercheur à l’Université Marien Ngouabi et avocat au barreau de Brazzaville, la diaspora congolaise combattante est en phase de se doter d’un nouvel outil pour le combat politique. Il se basera sur la justice et le droit pour en finir avec les crimes, les injustices, le chaos économique et financier et surtout l’absence de démocratie universelle

La liste n’est pas exhaustive.

Le retour a l’ordre constitutionnel, exprimé  par l’instauration de la constitution du 15 mars 1992, est une exigence de tous les Congolais afin de retrouver le processus démocratique  né  de la Conférence nationale souveraine (CNS) en février 1990, elle avait été interrompue lors du coup d’état fratricide très sanglant le 5 juin 1997. Ce terrible coup de force a imposé  au fil des temps une tyrannie tropicale sévère avec à la solde d’une gouvernance de façade sans partage par le vainqueur de cette guerre, le sieur Khany d’Oyo et son clan jusqu’à ce jour.

Il y a de quoi voir l’installation d’une monarchie ou pouvoir héréditaire qui semble se dessiner dans le clan des M’Bochis d’Oyo, sous la « MBochinie » régnante avec arrogance, mépris permanent, étalage de richesses pendant les danses jouissives au sein du clan.

La diaspora congolaise  combattante de France  qui était en repli après la mascarade lors la présidentielle du 20 mars 2016, a subi les affres de la pandémie de Covid-19 en octobre 2020 et son lot de décès dans nos rangs, elle vient de sortir de cette longue léthargie.

En effet cette longue léthargie a pris  fin le  samedi 18 mars 2023 lors du grand  meeting de la plate-forme Convergence 92 à l’hôtel Kellermann à Paris 13 ème à la Porte d’Italie au 17 boulevard Kellermann. C’est un meeting commémoratif des 45-46 ème anniversaires des douloureux événements du 18 mars 1977, suivis du procès stalinien en janvier – février 1978. Le peuple congolais et les nombreuses familles très éprouvées ont subi d’énormes conséquences sur le plan social, économique et juridique. Il fallait nous retrouver maintenant à cette date d’anniversaire pour honorer toutes les victimes des crimes de Sassou le seul instigateur de cette tragédie historique. Nous savons tous qu’il avait été aidé militairement pour s’installer au pouvoir.

Pour nous retrouver une campagne d’informations a été menée auprès des Congolais par le truchement des réseaux sociaux afin qu’ils viennent nombreux au meeting de Convergence 92 pour commémorer cette date historique du début de la tragédie congolaise qui continue jusqu’à ce jour d’anniversaire. Il y a eu beaucoup de monde qui a répondu à cette invitation lancée sur les réseaux sociaux et comme sur la chaîne YouTube du Pr EFL, ce vétéran de l’engagement en politique sur sa chaîne comme le montre ce lien ci-contre (https://youtu.be/4cUaWngAQQw).

C’est le grand artiste musicien  Hardos Massamba  Mouana Nimbi  qui a couvert les intermèdes musicaux  et a assuré le volet culturel et musical de l’événement. 

Il a été retransmis tant  en direct par les  médias tel que Ziana TV, la chaîne au coeur des diasporas, Afrikili, votre chaîne d’opinions, FRTDH  depuis Genève. 

Il faut ajouter aussi noter la présence des photographes professionnels tel Bavon Photo, et RPL Images, qui ont couvert le meeting, et en vont assurer le SAV.

Parmi cette multitude  des professionnels de l’imagerie événementielle, l’on ne saurait oublier le média :  » Lumières du Congo » managé par le frère Bernadin Dilou.

Au total, il y a eu quatre brillantes interventions, il s’agit de :

– celle de l’association :  » Les enfants d’ Afrique « 

– suivi de l’association  : »La vérité, rien que la vérité « 

– aussi, celle du professeur Eugène-Fernand Loubélo, en tant qu’individualité politique qui a lancé un vibrant appel au peuple congolais endormi pendant 46 ans .

– la dernière intervention a été celle de Me Amédée Bernard NGanga en sa double casquette : President de l’ARCI (Association Congolaise pour le Refus des Crimes et des Injustices ), et Coordonnateur de la dynamique Convergence 92.

 La modération du meeting était assuré par Bernadin Dilou, administrateur du média Lumières du Congo qui d’ailleurs pendant le pot de l’amitié a ouvert un point presse afin de recueillir les sentiments de plusieurs personnes morales et personnalités.

Images des Congolais dans la salle pendant le meeting historique et notez bien l’ambiance heureuse sur les visages.

Ci-dessous c’est l’appel vibrant au peuple congolais endormi depuis 46 ans par le Pr E-F LOUBELO en deuil pour la tragédie nationale.

Nous remercions tous ceux et celles qui se sont déplacés pour assister au meeting historique de Convergence 92 à Paris qui relance le combat de : la conquête de l’état des droits, de la justice équitable, de la restauration de la démocratie confisquée depuis le 5 juin 1997, et la poursuite de tous les criminels depuis le 18 mars 1977 car tous ces crimes sont imprescriptibles, ils devront tous passer la barre d’un vrai tribunal.

La mort massive de la jeunesse au fond de la Méditerranée dans l’indifférence !


Au vu de ces cercueils alignés sur le parquet pour une brutale fin de vie dans la méditerranée, en face de l’Europe tant rêvée par cette jeunesse, la réaction des pays civilisés devrait être unanime devant un tel drame humain. Hélas c’est l’indifférence qui est constatée, sauf l’Italie qui leur offre un enterrement digne d’êtres vivants issus de la même planète. Combien de temps durera ce spectacle des morts de cette jeunesse issue des pays suivants pour ces morts là : Irak, Pakistan, Somalie, Tunisie, et quelques pays d’Afrique noire. Cette jeunesse fuit la misère de leurs pays respectifs souvent dotés de richesse dans le sous-sol dont elle ne bénéficie pas. Quelques citoyens que nous sommes sont conscients du chaos économique depuis de nombreuses années, nous remercions ici le gouvernement italien pour cet honneur ou ces honneurs rendus à ces oubliés par les pouvoirs politiques égoïstes. Si rien n’est entrepris pour améliorer les conditions de vie des populations et surtout de cette jeunesse, le nombre de décès ces forces vives qui ne trouvent aucun avenir chez elle, ne fera qu’augmenter de jour en jour.

La jeunesse de ces pays préfère quitter le pays de naissance et le continent en fuyant la misère galopante et permanente d’année en année, malheureusement elle meurt dans la Méditerranée aux portes de l’Europe sans jamais l’atteindre ! C’est un rêve pour trouver !

Dans ce monde, chaque pays moderne compte sur sa jeunesse pour l’avenir du pays et de son élite pour relever tous les défis du pays afin que les conditions de vie soient meilleures pour tous. Il faut que les politiques et gouvernements offrent des perspectives au peuple et surtout à sa force de demain. S’ils sont élus démocratiquement, il faut qu’ils soient responsables du destin du peuple et de son avenir. L’alternance politique est un signe vital permettant aux autres d’arriver au pouvoir et poursuivre les missions que les précédents n’ont pas réussi. L’exercice du pouvoir ne doit pas être le strapontin du bonheur et de la richesse personnelle et de son clan en laissant les autres citoyens sur la paillasse de la misère. Quand l’avenir est bloqué sans issue, la jeunesse tente l’exode en Europe située de l’autre côté de la Méditerranée, celle-ci est devenue le nouveau cimetière des fuyards depuis quelques années. Si rien n’est entrepris par les dirigeants des pays d’où ils sont originaires, et si l’ONU n’exerce pas une pression sur les gouvernements de ces pays, cette tragédie humaine continuera devant nos yeux ! Quel gâchis humain et de leurs familles en deuil à vie !

Pour nous en sortir un jour, tous les pays d’où partent ces immigrants doivent se doter des institutions fortes et des textes de loi incontestables de gestion de la cité que tous les citoyens respecteraient de génération en génération. Un régime politique démocratique sur la base d’une constitution approuvée par tous les citoyens au cours d’un vote démocratique est la seule voie pour avoir un avenir politique apaisé dans chaque pays du monde pour ressembler à ceux d’autres continents. Cessons d’être le ou les derniers pays du monde sur tous les plans. Il faut qu’il y ait des écoles gratuites, des collèges, lycées de formation générale et de formation technique, tous gratuits et des universités permettant une formation avec les besoins du pays pour assurer son développement. La jeunesse trouve son bonheur dans le pays de naissance, et dans les pays voisins de la région car chaque citoyen doit se considérer comme appartenant à toute la région. Le bonheur doit être partagé dans la sous région entre les humains qui y vivent.

Je remercie ma nièce Andrée pour cette image de cercueils blancs d’enfants et des cercueils de couleur de bois pour les adultes.

Pr EF LOUBELO.

Une erreur fatale de la Conférence nationale souveraine de février 1991 qui nous coûte la vie !


 

Et oui peuple congolais, l’élite congolaise, si on avait écouté le jeune congolais Roger Massema président du parti la Cause, les Congolais et le Congo seraient sauvés dès la fin de la CNS.

En appliquant ce que proposait le brillant visionnaire de la Conférence nationale souveraine, Roger Massema, nous serions tous épargnés de la barbarie, du tribalisme familial du clan d’Oyo de Sassou, du pillage de nos richesses nationales et du chaos socio-économique et financier historique actuel.

Ce plan démoniaque comme l’indiquent les actes joints ci-dessus de la CNS de Sassou avait été exécuté le 18 mars 1977  lors de l’assassinat de son frère d’armes Marien Ngouabi bien qu’arrivant au pouvoir par effraction. Pour cette effraction historique, il avait été accompagné par la bande des camarades d’armée, pour constituer le trio de la tragédie congolaise que nous dénoncions à l’AEC : c’est le trio régionaliste NGouabi-Yhombi-Sassou pour bien les citer car ils vont s’alterner pour se partager le sommet du pouvoir après avoir sectionné comme un mouton la carotide de Marien NGouabi, le révolutionnaire de la caserne sans vraiment l’être !

C’est le plus criminel de tous, Sassou, qui va éliminer tous les deux sortis de l’école militaire, un à un, comme s’ils n’étaient pas sortis de l’école ni l’académie militaires d’Europe. Un vrai « mamadou » comme on appelle les arrivistes à l’école des cadets de Brazzaville.

Monseigneur KOMBO le président de la CNS qui avait protégé Sassou de la vengeance populaire du peuple congolais employa toute sa stratégie sur la base du pardon biblique ou chrétien pour le mettre à l’abri de toutes poursuites judiciaires, s’en rendra compte plus tard que son protégé était pire que Satan.

C’était trop tard !

A l’oraison funèbre (voir texte ci-dessous) lors des obsèques de Mgr Batantou, le Président de la CNS prouve publiquement qu’il est fort déçu de son protégé. Sassou touché et humilié en public avait décidé de lui ôter la vie comme il sait le faire ! Mgr KOMBO le paiera par une mort soudaine à l’hôpital militaire du Val de Grâce à Paris à la suite sans doute d’un empoisonnement (voir ci-dessous le documentaire sur la levée de corps de Mgr Kombo à la chambre mortuaire de l’hôpital militaire de Val de Grâce à Paris) . J’ai pris part vers la fin de l’année 2008 à la levée du corps du Président de la CNS qui rendit la démocratie au peuple congolais en février 1991.

Nous la réclamons de nouveau depuis le 5 juin 1997 sans succès ! Dieu nous a-t-il abandonnés en enfer au Congo ! 

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Allocution de Mgr Ernest Kombo à l’occasion des obsèques de Mgr Barthélemy Batantu

A l’adresse du doyen Batantu,…..

…. Alors à l’avance, je sollicite votre indulgence pour les lapsus éventuels qu’il pourrait y avoir. C’est loin d’une quelconque malveillance c’en serait pas.

Excellence, Chers confrères dans l’épiscopat, Eminence,

Pour camper brièvement la personnalité et l’œuvre du doyen Barthélemy Batantu, c’est au discours du premier président de la République du Congo Brazzaville, Fulbert Youlou que je me suis référé, à l’occasion du sacre du premier archevêque de Brazzaville, Théophile Mbemba.

A cette occasion, le président Fulbert Youlou disait : « l’Eglise, en devenant indigène, nous donne à espérer des lendemains meilleurs. Elle peut, sans peine, inculquer ses impératifs de l’au-delà ».

La religion apporte beaucoup aux civilisations dont elle s’efforce d’élever le regard au-dessus des contingences accidentelles. Aussi, doit-elle, davantage, s’adapter aux situations profanes pour mieux jouer son rôle civilisateur et faire entendre son message. C’est dans ce sens que le cardinal Suhard affirmait qu’il ne peut se faire de sérieux travail dans un milieu que par les hommes de ce milieu. « Similibus curantu ».

La religion n’est pas une chose faite, continue le président Fulbert Youlou, une chose en soi, somme une cathédrale ou une pyramide d’Egypte : la religion est un rapport : il y a la fixité dans ce rapport mais il y a aussi de la variabilité. Dieu ne change pas plus que lui-même. Mais sa vérité en nous a bien des manières d’être variable. Dans la mesure où nous progressons, elle progresse… Nous ne pouvons continuer à aimer le Christ sans le découvrir toujours davantage ».

Chers frères et sœurs en Christ, à cette ordination du premier archevêque du Congo Brazzaville, Théophile Mbemba, l’abbé Barthélemy Batantu dirigeait les chants. L’inculturation était déjà la préoccupation de l’heure et la collaboration entre l’Eglise et l’Etat était un souci réel. En ce doyen, s’achève une ère des pionniers, des fondateurs, des constructeurs, des créateurs. Aussi, pouvons-nous lui confier nos soucis, ne serait-ce que celui d’avoir sur ces différents fronts où, il a si bien œuvré des héritiers.

Son Excellence Monseigneur Barthélemy Batantu, notre doyen, en 42 ans d’épiscopat au Congo Brazzaville, vous êtes le 6ème à partir et le premier des 6 à avoir joui d’une retraite, signe de bénédiction, comme il arrive à tous les bons travailleurs. Oui, c’est une bénédiction d’avoir une retraite, dans sa profession. Mais vous êtes témoin que, aujourd’hui, les retraités sont maltraités. Et vous-même, vous en avez fait l’expérience qu’au Congo, il n’y a pas une maison pour accueillir les prêtres retraités ! Il n’y a pas de maison de résidence pour les évêques retraités. Ce qui fait que quand la retraite pointe à l’horizon, c’est l’angoisse ; on est aux abois. Vous en étiez et vous en êtes, le témoin. Témoin de 4 décennies durant, nous sommes en droit, nous vos cadets, de vous considérer maintenant comme notre messager.

1 – Vous direz à Monseigneur Théophile Mbemba que la vie religieuse au Congo demeure du côté masculin, languissante, du côté féminin, dans un brouillard étouffant ; les communautés nouvelles comme le pullulement des vierges consacrées ne sont pas encore une réponse satisfaisante aux besoins de l’Eglise et de la nation. Lui-même nous a laissés dans cette situation, et vous la connaissez en tant que fondateur mieux que nous vos cadets.

2 – Dites à Son Eminence le cardinal Emile Biayenda que le pays sombre toujours sous une nébuleuse de malédiction : après le sang du Christ Jésus, après son sacrifice à lui Biayenda, beaucoup d’autres victimes innocentes ont suivi sans assouvir la soif du pouvoir, sans entamer une réconciliation profonde et conséquente.

3 – Vous direz à Monseigneur Benoît Ngassongo, que nous ses cadets, nous sommes incapables d’enseigner et de construire des écoles comme lui. Nous venons de parler des enfants et des jeunes mais, avec des baratins.

4 – Dites à Monseigneur Godefroy Emile Poaty, sur le front de l’inculturation où vous avez œuvré ensemble, il n’y a pas d’héritiers, malgré la technologie et les ordinations qui nous encombrent dans nos bureaux. Sur le front des vocations sacerdotales qui était son souci primordial, nous sommes loin d’avoir des équipes pastorales soudées et efficaces. Nous avons oublié que la sainteté du prêtre passe par l’obéissance à son ordinaire.

5 – A Monseigneur Georges-Firmin Singha, dites, pour ses cadets que nous sommes, que l’Episcopat n’est pas encore considéré comme un service, mais comme un honneur, pour lequel malheureusement nous ne nous efforçons pas de nous qualifier.

Si au ciel, il y a un quartier des prélats, n’oubliez pas de saluer de notre part Monseigneur, nos aînés Denis Moussavou, Louis Badila, Noël Ognie.

Votre âge, votre expérience nous autorisent aussi de vous recommander le souci de la nation congolaise. Ici on aurait dû parler de trilogie déterminante ; entendons par là la coutume, l’Etat et la foi chrétienne, et vous en êtes vraiment le témoin. Un pont s’écroule, mais soyez ce pont Excellence Monseigneur Barthélemy Batantu.

Transmettez nos excuses et nos repentirs au président Fulbert Youlou. La jeunesse aux abois ne sait plus respecter les parents, grands-parents, oncles et tantes. Certains ont même des mains salies par le sang ; aidez-nous à obtenir le pardon et de Dieu et des ancêtres.

Monseigneur et cher Yaya, faites tout pour exorciser le pays. Aux présidents défunts Marien Ngouabi, Alphonse Massamba-Débat, dites que la violence demeure latente.

Est-ce que la concertation à notre niveau est possible pour nous suggérer les voies et moyens de suivre la devise de cette nation qui est de surcroît parfaitement évangélique : Unité- :-Travail- :-Progrès ? Nous comptons sur vous Yaya, l’Eglise et la nation congolaises ont soif d’amour, de paix, d’unité, comme Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, avec le président Alfred Raoul, nous n’allons

pas vous dire « Yenda kia mbote wa wuma » . Nous allons vous demander d’intercéder et d’obtenir pour nous auprès de Jésus le Bon Pasteur, l’estime les uns des autres, l’ardeur à travailler comme vous nous avez laissé l’exemple.

Si les morts ne sont pas morts, comme l’attestent vos nombreuses créations, avec tous les ancêtres ici mentionnés, pour nos enfants et nos jeunes, introduisez-nous dans le train de la réconciliation totale et profonde.

Bon et courageux on l’a dit, vous l’avez été et démontré un jour en quittant votre lit de malade pour m’accompagner au tribunal, un piège que l’on me tendait, où le devoir de réserve qui me lie jusqu’à la mort m’aurait exposé à l’outrage au magistrat.

Votre bonté, votre générosité, maintenant, n’aura plus de limite pour bénéficier avec tous les anciens et les victimes innocentes, pour plaider la santé de l’Eglise et de la nation congolaises. C’est seulement en ce moment-là que nous dirons, allez en paix mais ne nous oublier pas, le travail demeure sur tous les fronts.

Amen !

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Documentaire de Levée du corps de Mgr KOMBO à l’hôpital du Val de Grâce à Paris 


Le 18 Mars 2023, c’est une date historique en mémoire du 18 mars 1977 à Brazzaville au Congo.


Ce 18 mars 1977, le président Marien NGouabi est assassiné en début d’après-midi à l’heure du jour télévisé dans un bunker au centre-ville de Brazzaville. Le ministre de la défense et de la sécurité d’état est Sassou NGuesso son fidèle bras droit n’a jamais été entendu ni interpellé dans un crime pareil sans précédent. Il va accuser cet acte criminel du clan ethno-régionalo-tribaliste aux Poolistes notamment aux dernières personnalités que marien NGouabi avait reçu, il s’agit du Cardinal Emile Biayenda et l’ancien Président Massamba-Débat. La liste des citoyens innocents passés au « petit matin » est tellement longue qu’il n’est inutile de la publier ici, c’est cette expression célèbre de Florent Tsiba que le peuple congolais entendait à la radio, venant du sinistre Comité militaire du parti mis en place en vitesse par Sassou, le cerveau de ce criminel pour conserver le pouvoir au sein du trio ethno-régionalo-tribal rassemblé au sein du CMP, en violation de la constitution et des statuts du parti le PCT créé par Marien.

Le Congo venait de connaître la plus grande tragédie de son histoire, elle se poursuivra, s’amplifiera pour atteindre son apogée le 5 juin 1997. Après avoir été battu et éliminé au premier tour par la voie des urnes à la première élection présidentielle libre et démocratique remportée par Pascal Lissouba, Sassou, toujours lui qui se permet tout au Congo, en violation de tous les textes de loi du Congo issus de la célèbre Conférence nationale souveraine de 1990 qui venait de restaurer la démocratie mise en parenthèse sous le règne des présidents Fulbert Youlou de 1959-1963 et Massamba-Débat de 1963 à 1968, va déclencher un coup d’état contre la jeune démocratie avant la fin du mandat du président élu pour 5 ans. C’est la deuxième tragédie que le Congo et les populations vivant toujours dans la pauvreté et la misère permanentes vont subir et mourir massivement de maladies, de faim et de soif. C’est « sauve qui peut » à travers les forêts et la savane surtout dans les quartiers Sud de Brazzaville et dans le Pool dévastés, ce sont les cibles préférées de Sassou et son clan.

Une idée a germé dans la tête d’un fils du pays à Paris, c’est l’avocat Amédée Bernard NGanga en lançant une plateforme nommée CONVERGENCE 92 axée sur le droit et la justice, restaurés par la CNS en 1992, le refus des crimes et de l’injustice. Plusieurs associations politiques des Congolais et des individualités se sont rassemblées autour de cette plateforme et organisent ensemble une grande manifestation à Paris le 18 Mars 2023 en mémoire du 18 Mars 1977.

CONVERGENCE 92 exige :

  • – le retour à la constitution de 1992 issue de la CNS,
  • – le respect des lois et la justice équitable du citoyen qui en découlent, et
  • – l’état de droit,
  • – le refus des crimes et de l’injustice, car les crimes et l’injustice sont une banalité au Congo depuis le retour de Sassou par effraction du palais du peuple pour s’installer au pouvoir le 5 juin 1997 dans un gigantesque bain de sang avec l’aide de La France et le soutien militaire de l’Angola de Dos Santos.

Pr EFL l’invité à l’Echos de Paris de VoxAfrique par Eugénie Diecky


La présidentielle française d’avril 2022 est un sujet brûlant pendant les deux tours pour la communauté africaine vivant en France car pour ceux qui ont la nationalité française, ils devraient sans doute voter, mais pour qui parmi les candidats en lice ? Les grands partis le PS, le PCF, le LR, RDG… ayant tous disparu, il est difficile de faire le choix. Pour les Panafricains voulant l’indépendance réelle des pays africains francophones qui sont toujours sous-développement chronique depuis plus 60 ans, et où la démocratie fait cruellement défaut malgré les conférences nationales au début des années 90 subséquentes de la conférence de la Baule au cours de laquelle le président Mitterrand lassé d’aider les pays africains en versant plusieurs millions sans fin voulait lier désormais l’aide financière à la démocratisation de ses pays pour mettre un terme à leur régime de partis uniques et au chaos politique responsable du sous-développement permanent engendrant l’immigration continue vers l’Occident et plus particulièrement en France « qui ne peut pas accueillir toutes les misères du monde » (dixit Michel Rocard).

C’est dans la première émission que ce sujet est abordé en répondant aux questions tirées au sort par la journaliste Eugénie Diecky dans sa grande calebasse, objet mythique africain.

Dans la deuxième émission, c’est le livre paru en 2014 et réédité en 2018 dont le titre est : « Le voyage intérieur du bruit : De l’oreille au cerveau » qui est abordé pour sensibiliser le public de France, d’Europe, d’Afrique et du monde, car il s’agit d’un problème crucial. Les nuisances ou pollutions sonores et leurs conséquences sur l’audition et le cerveau représentent le combat que je mène en France depuis 30 ans, d’où la rédaction de ce livre à succès après ma thèse de Doctorat dirigée par le Professeur Jacques Paty, professeur de Médecine et Physiologie à l’Université de Bordeaux II. Ce livre est mis à la disposition de 33 bibliothèques universitaires des universités de France et des bibliothèques municipales de grandes métropoles. Sauf en Afrique particulièrement pas au Congo-Brazzaville d’où je suis originaire en le quittant le 26 septembre 1976 pour faire des études supérieures à l’Université de Bordeaux II en France. Ce livre est disponible aussi à la Cité des Sciences à la Villette à Paris . Et également à la Cité de la musique.

Le lien de la première émission est la suivante : https://youtu.be/9kWWhd3Hoe4

Voici le lien de la deuxième émission : https://youtu.be/91b3tJztA54

Je remercie la soeur et amie personnelle Eugénie Diecky pour cette invitation qui pourrait susciter des interrogations sur la problématique des nuisances ou pollutions sonores qui sont un véritable fléau majeur en Afrique noire négligé par les politiques en place laissent le développement des églises de réveil, des bars, des klaxons de voitures, des motocyclistes sans fixer un cadre législatif de mesures du niveau sonore afin de réduire les nuisances sonores dans nos cités très bruyantes chaque jour et tous les jours sans cesse. Les troubles auditifs y sont sans doute nombreux et le défaut des hôpitaux de grande qualité engendre un accroissement des déficients auditifs dans nos pays d’Afrique.

Voici deux liens successifs de nuisances sonores avec des travailleurs dont certains sont non protégés par un dispositif de protection des oreilles :

https://youtu.be/dPXSKeVuk_E

En ma qualité de Neurophysiologiste et Physiologiste, spécialiste du bruit et ses conséquences sur l’audition et le cerveau, je suis très choqué et triste de cette situation qui perdure depuis des décennies sans rien entreprendre pour le faire réduire efficacement pour le bien-être de tous dans nos villes.

Sassou est le plus grand tribaliste du Congo et d’Afrique noire : voici les preuves !


Arrivé au pouvoir dans les bagages du régionaliste Marien NGouabi en juillet 1968, c’est un groupe de militaires qui s’était opposé au président Massamba-Débat après la guerre entre l’armée congolaise et la Défense civile, milice sinistre du pouvoir en place entre août-septembre 1963 et juillet 1968. Sassou serait un agent secret français d’après la persistante rumeur qui avait été choisi au début des années 60 par le service d’espionnage français sur la base de son grand complexe d’infériorité et de son insuffisance de niveau scolaire limité en classe de 5 ème voire 4 ème. La tentative de passer à l’école de formation des instituteurs à Dolisie se solde par un échec pour inaptitude intellectuelle. Il en sort sans diplôme de qualification contrairement à son épouse Antoinette Tchibota qui à sa sortie est diplômée et affectée à l’école primaire de la Grande poste de Brazzaville au centre-ville. Aucun Congolais à ce jour ne s’est réclamé d’avoir été l’élève de Sassou dans une école quelconque au Congo, ni un collègue de Sassou ayant apporté un témoignage sur cette partie de sa vie. Renvoyé de MBounda, cette école de formation n’a gardé aucun souvenir de lui, il est au chômage au début des années 60. C’est à l’appel lancé de recrutement de jeunes congolais pour remplacer le départ des Français après l’indépendance par le président Fulbert Youlou et son vice-président Jacques Opangault qu’il doit son salut en intégrant la nouvelle armée congolaise embryonnaire de 100 militaires et six officiers sortis de l’armée française. Il intègre l’armée et part en formation qui est assurée par les instructeurs français en Algérie pour quelques semaines. Au retour il découvre que les deux officiers les plus gradés des forces armées congolaises (FAC) sont les commandants Mouzabakani et Mountsaka tous originaires du Pool comme la plupart des cadres post coloniaux dans l’administration congolaise naissante. Ces deux grands premiers officiers issus de l’armée française n’ont jamais bénéficié du grade de Général sous Sassou une fois au pouvoir, il les écrasera jusqu’à leur retraite mais il nommera les plus médiocres de sa tribu au grade de général d’armée pour rattraper le retard dans la quantité des cadres originaire du Nord du pays ! Il ignore par manque d’analyse qu’il s’agit d’un problème démographique entre le Sud et le Nord.

Cette image montre le maigrelet Sassou en formation tenant maladroitement avec ses doigts décharnus le téléphone de communication. C’est dans l’armée que Sassou l’illettré et le dernier de sa génération va creuser son sillon souterrain pour éliminer un à un dès le 18 mars 1977 tous les vrais officiers de carrière complète dans l’armée depuis l’école militaire des enfants de troupe, la fameuse école Général Leclerc de Brazzaville au centre-ville. Il avait commencé par son mentor Marien NGouabi égorgé comme un mouton dans son bunker hautement surveillé en plein midi aux heures de repas. Pour couvrir son crime odieux, il va accuser et désigner les Lari-Kongo comme étant les assassins du commandant Marien NGouabi. Au petit matin de Florent Tsiba du CMP (Comité militaire du parti), nombreuses victimes bien choisies vont être massacrées sous ses ordres bien planifiés. Pour calmer les Kouyous l’ethnie de Marien NGouabi, il poussera le naïf Yhombi le parent de Marien de prendre le poste de président de la république. Heureux d’y être il va montrer son caractère condescendant dans l’armée et sur les populations congolaises et étrangères notamment les Ouest Africains vivant paisiblement depuis des décennies. Il va multiplier des incidents diplomatiques. Sassou préparé par le service français va le démettre de ce poste et le jettera en prison sous forme de résidence surveillée dorée surveillée pire que le lait au feu pendant 11 ans. Dès février 1979 Sassou s’installe au pouvoir et offre à la société Elf Aquitain le boulevard d’exploiter le pétrole congolais qu’aucun président prédécesseur, ni Massamba-Débat, ni Marien NGouabi ne voulait brader à cette société française sans avoir des cadres congolais formés et très compétents dans ce domaine complexe de la pétro-chimie. Sassou avait été choisi et corrompu pour ouvrir les vannes du pétrole du Congo à Elf Aquitain qui deviendra Total-Elf en s’étant bien enrichi sous la présidence de Sassou dès 1979 à nous jours. C’est l’avénement de la démocratie déclenché par François Mitterrand à la Baule en 1989 que les pays du pré-carré français vont se lancer dans les conférences nationales souveraines pour instaurer la voie démocratie dans chaque pays sous le régime de parti unique et dynastique. Au Congo c’est la grande fièvre de l’instauration de la démocratie. Deux piliers vont lâcher Sassou : c’est le jeune chef d’état major Jean-Marie Michel Mokoko qui contrôle l’armée et coupe le cordon ombilical avec Sassou le président du PCT, et le syndicaliste à vie Bokamba Yangouma le président de la CSC qui demande à ses militants de soutenir la démocratisation de notre pays. Privé de ces deux piliers et partenaires, Sassou est déshabillé et laissé nu comme un ver de terre ! Un gouvernement de transition est mis en place, il est dirigé par André Milongo pendant 18 mois. Le gouvernement de transition organise la première présidentielle est organisée en juillet 1992 après un vote de la constitution de mars 1992 pour laquelle tous les Congolais avaient massivement partout au monde. A Bordeaux, nous avons voté au consulat du Congo à Villenave d’Ornon.

Trois candidats vont s’affronter dans les urnes, chose qui se produit pour la première fois au Congo. Il s’agit de l’intellectuel Pr de Génétique Pascal Lissouba, de l’illettré devenu soldat, c’est Sassou Nguesso, et un ancien employé de l’administration, c’est Bernard Kolelas. Au premier tour le faux président sortant décrié à la conférence nationale souveraine est battu voir enterré. C’est Lissouba qui affrontera Kolelas au second tour. Sans surprise Lissouba gagne l’élection démocratique et historique après l’indépendance en août 1960. C’est la première ! Finalement le démon Sassou enterré à peine de 3 cms au pied va sortir et chercher à se venger pour reprendre le pouvoir qui est le sien par une guerre fratricide déclenchée le 5 juin 1997 jusqu’en octobre 1997. Aidé par Chirac et l’armée angolaise de Dos Santos, Sassou finira par la gagner grâce à ces appuis militaires aériens. Il va s’installer au pouvoir dans un pays très dévasté, dépeuplé et très meurtri ! Des corps des populations massacrées jonchent le sol congolais dans les quartiers des villes, dans les forêts dans les cours d’eau. Il y a plusieurs centaines milliers de morts. Aucune administration congolaise bien que désorganisée totalement voire détruite ne donnera le chiffre exact ou approximatif de morts. Le million de morts n’est pas loin en tenant compte les décès post-conflits pour diverses maladies et carence alimentaire. Depuis octobre 1997, Sassou s’est imposé comme l’occupant par effraction dans un bain de sang du palais du peuple. Ayant retrouvé son fauteuil perdu par la voie démocratique, il va tout abroger pour se donner tous les pouvoirs et devenir le maître absolu du pays pour en faire une monarchie des MBochis d’Oyo avec une transmission de fauteuil de père en fils pour montrer la dominance de cette tribu de bons à rien sauf les crimes, le pillage et le sexe sans limites. Sassou totalise 100 enfants avec des femmes dont la plus célèbre est la veuve son frère d’armes NGouabi, sa victime qui avait été égorgée, c’est Céline NGouabi avec laquelle il a eu deux descendants. Il venait d’organiser un mariage de leur fille en 2019 ou 2020 à Brazzaville. Le secret de cette union incestueuse ou démoniaque est sortie des ténèbres pour faire taire les rumeurs de cette relation vieille de plus 45 ans !

En décembre 2020 avant la Saint-Sylvestre, pour conserver à jamais le pouvoir au sein du clan des MBochis d’Oyo, il a nommé plusieurs généraux des Forces armées congolaises comme le montrent les documents ci-joints suivants :

Choqués par ses nominations très tribales au sein de l’armée nationale, les Congolais sont très indignés et choqués car ils découvrent que Sassou est le plus grand tribaliste du pays et il le montre sans se cacher. Plusieurs analystes de la situation politique congolaise pensent que le tyran prépare à installer son fils au pouvoir bientôt se sentant de plus en plus diminuer, il veut l’installer avant qu’il soit totalement impotent ! C’est pour cela qu’il a nommé des généraux qui se mettront au service du fils pour le protéger s’il y a des coups d’armes à feu sur son rejeton parce qu’une révolte pourrait se déclencher quelque part surtout au sein du clan paternel. Les Congolais aperçoivent une certaine animosité entre le fils Christel Sassou de mère originaire de la RDC, nommé ministre pour le mettre sur la rampe de lancée et l’amiral Jean Dominique Okemba, le neveu officier militaire du père, sans formation militaire de base. Il est le second grand maître franc-maçon après le plus grand maître franc-maçon du Congo et d’Afrique qu’est Sassou, le Dieu de la franc-maçonnerie au Congo. Okemba est le premier fidèle et le premier garde-corps de l’oncle, le roi des MBochis d’Oyo, le président à vie du Congo.

Depuis le 18 mars 1977, Sassou a pris et confisqué les clés du Congo qu’il dirige en contrôlant tous les rouages militaires et administratifs. Aucun coup d’état ne peut s’opérer au Congo sous son règne ! Il en est sûr pour avoir été le chef suprême de la sécurité au Congo sous Marien jusqu’à maintenant. Aidé par la Françafrique, il se sent invulnérable ! La preuve il a terrassé Lissouba par les moyens militaire angolais et français. Il est au pouvoir jusqu’à la fin de sa vie, croit-il, la peur des Congolais des armes de guerre la rassure chaque jour. Mais si jamais le fils est installé au pouvoir, les Congolais pourraient-ils se réveiller pour tout balayer et chercher à restaurer la démocratie volée par le clan Sassou le 5 juin 1997 et les juger publiquement tous ?

Qui vivra, verra la suite et la fin probable de cette tragédie dont le seul maître est Sassou, valet de la mafia économico-financière française depuis le 18 mars 1977 !

Publication de Pr EFL, Neurophysiologiste, Physiologiste, Ecrivain. Natif de Potal, Ancien étudiant Bordelais membre de l’AEC (section territoriale de la FEANF) en octobre 1976.

Le témoignage de Lékoundzou sur la tragédie sanguinaire perpétrée par Sassou dès le 18 mars 1977 à Brazzaville (par Pr EFL Mwana Potal).


Les assassinats de mars 1977 : Pour Lékoundzou Itihi Ossetoumba, c’est Sassou Dénis le principal instigateur et commanditaire.

Ma part de vérité sur les assassinats de Marien Ngouabi, Cardinal Emile Biayenda et président Massamba Débat en mars 1977

 “A l’adresse du chef d’état-major général des Forces armées congolaises, des cadres civils et militaires”

Le message que je vous adresse, aujourd’hui, à mon corps défendant (je n’ai aucun titre à le faire) a valeur d’aveu et de témoignage. En tant qu’un des acteurs majeurs de la vie sociopolitique nationale depuis des lustres, je suis tenté de vous livrer ce qu’il convient d’appeler « ma part de vérité » concernant les errements, les intrigues, les félonies, les trahisons, les persécutions, les assassinats, bref, tous ces maux qui ont, et qui continuent d’émailler celle-ci.

Comme vous le savez certainement, déjà, je suis actuellement à l’étranger en train de recevoir des soins appropriés suite non pas à une maladie naturelle, mais à un empoisonnement avéré. D’aucuns se demandent qui est le véritable commanditaire de cet empoisonnement ? Comment cela est-il arrivé, et pourquoi ?

Nul n’ignore les débats internes au Parti congolais du travail (PCT), parti du commandant Marien Ngouabi entre ceux qu’on a appelé outrageusement les réformateurs dont la tête de file se trouvait être le défunt président du sénat, Ambroise Edouard Noumazalay, d’une part, et ceux qu’on a désignés péjorativement comme conservateurs, lesquels étaient conduits par votre serviteur d’autre part.

Ces débats internes qui trahissaient d’une bonne santé de la démocratie au sein de notre parti étaient perçus a contrario comme une fronde. Certaines personnes s’étaient senties menacées, celles-là mêmes qui ne croient pas au débat démocratique. Nous avions été perçus comme des ennemis à abattre à tout prix pour que leurs privilèges soient sauvegardés. Notre action en vue de la préservation du PCT, et partant, de la mémoire de son fondateur, le commandant Marien Ngouabi, n’avait pas, à proprement parler, l’assentiment du président de la République, même si publiquement, il n’osa l’avouer, s’érigeant faussement en arbitre impartial.

Nous dérangions par notre action, sans que l’on sache réellement pourquoi, d’où cette tentative de mon élimination physique. En le faisant, les tenants du « Réformisme » pouvaient ainsi asseoir leur dessein, celui de faire disparaître à jamais le PCT, et partant, la mémoire de son fondateur, le commandant Marien Ngouabi.

Ces gens-là veulent faire croire au peuple que les déboires du pays sont dus au PCT, ancien parti unique. Ils sont en quête d’une certaine virginité politique, puisqu’ils tentent vainement de faire table rase du passé, de leur passé fait de gabegie, d’intrigue, d’assassinats politiques. Le PCT est ce qu’il est à cause de la pratique des hommes, en particulier, de ses dirigeants. Le PCT en tant que parti n’a jamais tué, ni non plus professé une quelconque idéologie divisionniste. En tant que parti, le PCT a déjà admis des réformes fondamentales à la faveur de l’ère démocratique. Il a abandonné son idéologie marxiste-léniniste, faut-il qu’il se fasse hara-kiri en abandonnant son nom pour que l’on parle de réforme ? Voilà ce qui explique la tentative d’élimination visant ma personne. Cela a toujours été leur pratique. J’ai été empoisonné certainement par des personnes qui me côtoyaient, à l’instar de l’amiral Jean Dominique Okemba, qui m’appelait affectueusement, « Tonton » en raison des liens solides que j’entretenais avec son oncle (Denis Sassou Nguesso)

Le principal commanditaire de cette tentative est nul autre que Monsieur Denis Sassou Nguesso. Cet homme est d’une intolérance sans bornes car il n’accepte jamais aucune voix discordante ou contraire à ses opinions en son sein. Son machiavélisme notoire a déjà précipité maintes personnalités de notre pays à la mort, comme je vais le démontrer un peu plus bas.

Pourtant, mon engagement auprès du président Denis Sassou Nguesso était connu de tous les Congolais. Je l’assume et je n’en ai pas honte. Pendant la période 1991-1992 qui marqua la transition démocratique au Congo-Brazzaville, j’ai été sous les feux de la rampe. Alors qu’il était, constitutionnellement, protégé par son statut d’ancien président de la République, d’autres que lui étaient la cible de ceux qui voulaient en découdre avec lui. J’ai personnellement été le bouc-émissaire car j’ai connu la prison au cours de cette période. De même, dans les années 1992-1997, période marquant le règne du président Pascal Lissouba, maintes personnes liées au président Denis Sassou Nguesso ont vécu moult difficultés, voire, des persécutions alors que le principal intéressé se la coulait douce en France et au Gabon, ou se terrait dans ses « bunkers » d’Oyo et de Brazzaville, loin des tracasseries quotidiennes.

Chers Compatriotes, les manigances du président Denis Sassou Nguesso ont précipité ce pays dans l’abîme car il a toujours agi sous la main pour provoquer les crises afin d’en récolter les dividendes, en éliminant tous ceux qui lui ont toujours fait obstacle. Aucune crise ne s’est passée au Congo de 1969 à ce jour sans qu’il n’y soit impliqué, soit directement, soit indirectement. Même lorsque le conflit opposait le président Pascal Lissouba à Monsieur Bernard Kolelas, le président Denis Sassou Nguesso était toujours impliqué.

Après l’élection du président Pascal Lissouba, un accord avait été conclu, lequel devait conduire à la participation des membres du PCT au gouvernement. C’est le président Denis Sassou Nguesso lui-même qui avait donné les noms des trois personnalités du PCT, qui devaient rejoindre le gouvernement à El Adj Djibril Bopaka, ceci nuitamment, et à l’insu de tous, avant de dénoncer l’accord, ce qui nous a conduits à une profonde crise comme vous le savez.

Venons-en maintenant à l’assassinat du président Marien Ngouabi. Il faut dire que c’est une affaire dont l’énigme n’a jamais été élucidée.

Cet assassinat est à inscrire au même chapitre que l’assassinat du président John Fitzgerald Kennedy, en 1963, à Dallas, aux Etats-Unis. La mort du président, Marien Ngouabi, a entraîné l’exécution d’illustres personnalités parmi lesquelles le président, Alphonse Massamba Débat, et le cardinal, Emile Biayenda. Toutes ces personnalités auxquelles il avait été attribué à tort l’assassinat du président, Marien Ngouabi, ont été sacrifiées sous l’autel de l’ambition d’un homme parmi les plus cruels et les plus sanguinaires que l’Afrique ait jamais connu, à savoir, le président Denis Sassou Ce dernier alors ministre de la Défense et de la Sécurité, en 1977, a été le principal instigateur de la mort du président Marien Ngouabi, voire, son principal commanditaire.

D’aucuns ont toujours pensé à tort que le président Marien Ngouabi a été assassiné dans sa résidence comme l’a toujours indiqué la version officielle tronquée. Il n’en est pas ainsi car le président Marien Ngouabi a été entraîné dans un traquenard à l’hôtel Mistral où il avait été lâchement assassiné par les soins de Denis Sassou Nguesso qui avait savamment, et de façon rusée, exploité la haine que lui vouaient certains officiers de l’armée.

Il faut souligner pour votre gouverne qu’au moment des faits, Monsieur Denis Sassou Nguesso était ministre de la Défense et responsable de la Sécurité de l’époque. Comment comprendre qu’un président soit assassiné alors même que l’armée était consignée et que le président vivait en plein état-major ? Comme se fait que la responsabilité du ministre de la Défense et de la Sécurité de l’époque n’ait jamais été mise en cause ?

C’est dire que c’est lui qui a tiré toutes les ficelles sur cette affaire. Il a sacrifié plusieurs personnes en capitalisant sur la haine et l’esprit de revanche des Kouyou car il fallait à tout prix des bouc-émissaires.

Mesdames et Messieurs, cet homme à l’esprit retors ne recule devant rien. C’est bien lui qui a provoqué la guerre de juin 1997. Il s’est préparé, militairement, au lendemain de l’élection du président Pascal Lissouba dans le but d’en découdre, plus tard, avec lui en vue de la reconquête du pouvoir car il était pertinemment conscient de l’impossibilité de le faire par la seule voie des urnes. Monsieur Pascal Lissouba s’est pris au piège tendu par Monsieur Denis Sassou Nguesso, à cause surtout de son inconscience, sa susceptibilité, et de la haine viscérale qu’il vouait à ce dernier, et inversement.

Monsieur Pascal Lissouba a lancé, maladroitement, ses forces contre Monsieur Denis Sassou encouragé dans cette maladroite entreprise par Yhombi et Okoko, tandis que celui-ci s’est posé en victime. Tous ceux qui connaissent ce sinistre personnage comme moi, ne sauront mettre en doute la véracité de ces propos.

Mesdames et Messieurs, Chers compatriotes,

 Aujourd’hui, l’Etat congolais tout entier est devenu la quasi-propriété des Nguesso. Monsieur Denis Sassou Nguesso, ses enfants et neveux, se sont appropriés de façon criminelle les sociétés qui, naguère, étaient le fleuron de l’Etat congolais. Les finances et le pétrole congolais sont contrôlés de façon discrétionnaire par cette famille dont l’appétit vorace et insatiable, et l’avidité incompréhensible obèrent les finances publiques au point où les immenses ressources financières dont est censé disposé le Congo sont largement détournées par cette famille qui fait l’acquisition des biens immobiliers partout, à savoir, à l’intérieur et à l’extérieur du pays.

Ce qui est particulièrement curieux, aujourd’hui, c’est que Monsieur Denis Sassou ne semble pas se rendre compte du fort ressentiment du peuple à son égard ; sa désinvolture est désarçonnante. Les Congolais témoignent, aujourd’hui, de l’aversion pour cet homme dont la seule apparition à la télévision est vue comme de l’outrage. Les événements de Pointe-Noire à l’occasion de l’inhumation de Monsieur Thystère Tchikaya traduisent la véracité de ces propos. Au lieu de prendre en compte les raisons de la colère populaire à son encontre, Monsieur Denis Sassou Nguesso qui pense être en mission divine, y est allé en menaces à peine voilées lorsqu’il a reçu les notables de Pointe-Noire venus s’excuser platement devant lui.

Quelle désinvolture !

Il doit savoir une chose : les Congolais supportent difficilement ces gens qui étalent de façon ostentatoire leur richesse mal acquise pendant qu’ils tirent eux-mêmes le diable par le queue, d’autant plus que, selon les chiffres, le Congo n’a jamais été aussi riche avec un budget annuel de plus de deux mille milliards de f cfa. Le gouvernement fait office de faire-valoir. Monsieur Denis Sassou a créé des sociétés qui sont sous sa propre gouverne, pour contrôler tous les flux financiers, à savoir, la délégation générale des grands travaux, la SNPC, le Domaine présidentiel, la Cotrade, Socotram, le Conseil national de sécurité, la BGFIBank, la Direction générale des contrats et marchés de l’Etat…

A la tête de ces sociétés se trouvent ses neveux et fils. Ils sont ouvertement en conflit d’intérêt et ne s’en émeuvent pas, surtout, lorsqu’ils ont aliéné à leur profit les sociétés d’Etat aussi juteuses qu’Hydro-Congo, ATC, ONPT…

Aujourd’hui, les conseils des ministres se tiennent rarement. D’ailleurs, ils n’ont rien à décider car les décisions importantes sont prises en haut lieu (cercle familial). Que dire des pouvoirs locaux comme les conseils régionaux et municipaux ?

Ils s’avèrent inutiles car n’ayant aucune emprise sur la moindre décision les concernant. Nous constatons cela lors de l’exécution des projets de la municipalisation accélérée qui du reste font appel aux investissements mal orientés dans des secteurs loin d’être prioritaires. Au lieu de prendre à bras le corps les problèmes réels du pays, Monsieur Denis Sassou Nguesso, personnage contradictoire à souhait, veut plutôt son image en endossant les problèmes qui ne sont pas nôtres. Son activisme en ce qui concerne la lutte contre le réchauffement de la terre, ainsi que pour le développement durable étonne plus d’un Congolais qui voit en cela une digression traduisant une incapacité notoire à s’attaquer aux vrais maux nationaux qui sont : le chômage, les problèmes du système éducatif et du système de santé, le manque d’eau potable et d’électricité, l’absence de logements sociaux, les problèmes d’insalubrité et des routes…

Il est de notoriété publique que Monsieur Denis Sassou affectionne particulièrement les pratiques mystico-fétichistes et ne s’en cache pas. Il vient à cet effet de créer le District de Brazzaville, qui est une loge maçonnique. Mais il n’a pas suivi le cheminement, les procédures requises et la philosophie de cette loge. Il s’est autoproclamé Grand-Maître à vie tandis que son neveu de triste mémoire est nommé député à vie.

Monsieur Denis Sassou pratique la magie et la sorcellerie dans un seul but : asseoir sa domination et la pérennité au pouvoir. Tous les compatriotes adeptes de cette secte doivent savoir que leurs étoiles, leurs âmes et leur famille, sont à sa merci parce que sous l’emprise de sa domination mystique. Il veut devenir omnipotent, omniscient et cherche à accéder au 30e degré dans la conception maçonnique pour mieux asseoir sa puissance.

Dans sa quête mystico-fétichiste, qui fait qu’il s’adonne aisément à l’inceste, Monsieur Denis Sassou Nguesso veut s’approprier, si ce n’est pas déjà fait, des restes (ossements) de certaines personnalités comme De Brazza et le roi Makoko (Elo 1er) pour soi-disant fortifier sa puissance tutétaire. Mais avec le roi Makoko actuel (Auguste Nguempio), il n’y arrive pas, c’est pourquoi il veut le faire disparaître et le faire remonter par un roi à sa dévotion.

Dans cette quête mystique, il a des alliés comme le général Florent Ntsiba, le colonel Marcel Ntourou, Raymond Mboulou, Auguste Célestin Gangarad Koua, le colonel Jean Aive Allakoua, le capitaine Nganvala Essouli, qui ont ceci de commun qu’ils affectionnent le sang et les fétiches.

Chers compatriotes,

Je vous demande d’aller au devant de vos problèmes, de les affronter afin de s’en affranchir. Vos problèmes ont pour nom la famille Nguesso. C’est une famille prédatrice dont les intérêts passent avant le bien-être de tout un peuple.

Souvenez-vous que lors de la Conférence nationale souveraine, vous aviez dit NON à Denis Sassou Nguesso. Dites-lui de nouveau NON en 2009. Même s’il vous inonde de l’argent, dites lui tout de même NON car cet argent vous appartient.

Vous étiez nombreux à vous abstenir lors des élections législatives et locales. Abstenez-vous de voter pour votre propre malheur, ne lui donnez plus carte blanche. Votez pour une autre personne ou abstenez-vous.

Aujourd’hui et demain, nous avions besoin d’un homme équilibré, ordonné, discipliné, d’une majesté mêlée de bonté dans toutes ses actions. Nous n’avions plus besoin d’un déséquilibré avide de cupidité.

Monsieur Sassou Dénis doit comprendre le rejet total du peuple à son égard. S’il veut se maintenir en dehors de la volonté populaire, il aura à répondre un jour. Ce monsieur représente le malheur. Débarrassez-vous-en. Vous le pouvez. En 1992, vous lui avez dit NON. Vous pouvez le faire à nouveau. L’avenir vous appartient, notamment, vous les jeunes. Ne permettez pas qu’il vous le compromette plus qu’il ne l’a fait. Levez-vous ! Prenez l’exemple sur les événements récents de Pointe-Noire. Lapidez-le par un NON ou par une abstention massive : TOUT, SAUF Sassou Dénis.

Que vive le Congo !

Fait à Paris, le 3 novembre 2008

Justin Lekoundzou Itihi Ossetoumba

Ancien ministre de la Défense  et Ancien Secrétaire général du PCT

Document publié par CongoNews Numéro 364 du 18 mars 2018

A l’adresse du chef d’état-major général des Forces armées congolaises, des cadres civils et militaires

Sassou, un violeur de constitution et pilleur du trésor public pour des dépenses inutiles d’empereur candidat à rien et Vainqueur à vie : Un psychopathe sans doute !


Au Congo depuis de nombreux mois voire des années, les salaires, les pensions des retraités, les bourses des étudiants ne sont pas payés, mais pour cette nouvelle mascarade électorale de mars 2021après sa défaite écrasante de mars 2016, il a vidé le trésor public pour dépenser massivement sans compter pour se faire confectionner des objets de campagne alors qu’il n’a jamais fait de campagne, ni tolérer pour accepter un débat contradictoire entre candidats parce qu’il en est incapable mentalement. C’est l’une des causes du refus qu’il y ait des candidats à chaque élection. Il est toujours seul et tranquille, c’est le roi dans une cour vide !

Les citoyens privés de salaires, de bourses, de pensions sont abandonnés à leur triste sort. Ils ont le choix entre mourir ou faire la révolution ! Malheureusement les aînés révolutionnaires d’août 1963 sont tous très vieux ou morts. Les dispensaires ont tous fermés, les hôpitaux totalement dégradés sont des mouroirs, les transports publics sont inexistants. Le Congo dispose de la seule voie ferrée envahie par les herbes héritée du colon français. C’est une preuve de plus que Sassou est un grand villageois qui ne connaît pas le progrès, cela est sans doute dû à son niveau d’instruction très bas. Il doit sa position actuelle au président Fulbert Youlou et son vice-président Jacques Opangault qui avaient lancé le recrutement des jeunes congolais dans l’embryonnaire armée congolaise pour remplacer les militaires français après l’indépendance, c’est l’armée donc qui a sauvé Sassou Denis du chômage rare à l’époque dans les années 1959-60.

Imaginez tous dans un pays pétrolier depuis 1977, l’eau et l’électricité sont un luxe pour tous les Congolais malgré cela les services gestionnaires continuent de réclamer le paiement des factures pour services non rendus. L’installation au palais du peuple par effraction dans le sang de Sassou Denis s’est traduite par une gestion chaotique depuis le 5 juin 1997. Sachant qu’il ne peut gagner une élection libre démocratique et transparente au Congo, il se fait déclarer vainqueur par sa cour constitutionnelle à 3h du matin en prenant de couper le réseau Internet et la radio nationale, sans oublier les fréquences hertziennes des radios privées comme RFI. A son réveil il a fait arrêter le vainqueur MOKOKO et le jette en prison le 16 juin 2016 jusqu’à ce jour pour avoir été candidat contre lui et de l’avoir battu. Une injure et humiliation d’après le tyran sanguinaire l’empereur de Ouattara et Condé leur modèle et référence en matière de violation de constitution pour un 3ème mandat illégal ! Ayant son propre fichier électoral qui correspond à ses désirs, Sassou Denis a inversé les densités des populations du pays en faisant du Nord du Congo qui a toujours été très dépeuplé depuis la nuit des temps, est la région la plus peuplée du pays et le Sud très sous peuplé en ayant fait massacrer tous les Poolistes dès 1997.

N’ayant jamais fait des études au delà de la 5ème, il s’est fait construire une université sur un site non constructible à cause d’un sol et d’un sous-sol sablonneux et argileux à laquelle il a donné son nom sans avoir le Bac, ni avoir foulé les amphithéâtres de l’unique université en décadence totale ! Il n’a jamais entretenu les vieux bâtiments de l’université de Brazzaville en ruines après le coup d’état du 5 juin 1997. La faculté des Sciences avait été pillée pendant la guerre de 1997 puis transférée dans les vieux bâtiments du lycée annexe du lycée Savorgnan ! Il n’y a ni toilettes ni eau potable ni d’infirmerie pour les soins primaires des élèves et des étudiants sans bourse ! Sassou est un grand criminel ambulant, c’est un vrai psychopathe doublé de narcissisme. A cela s’est ajouté très tôt un complexe d’infériorité depuis l’école normale de Dolisie d’où il est sorti sans diplôme contrairement à Antoinette qui avait été enseignante à l’école de la Poste, pour son teint sombre, Sassou Denis s’est toujours éclairci son visage et teint ses cheveux en noir pour faire apparaître le contraste teint brun et cheveux noirs.

Sassou est le mal absolu du Congo et des Congolais depuis le 18 mars 1977 lorsqu’il avait fait égorger Marien NGouabi l’homme qui l’avait mis sous son aisselle… politique ! Quel ingrat Sassou, il a assassiné tous ceux qui l’avaient intégré sur la base ethno-régionale au sein d’un sous-groupe dans l’armée alors qu’il n’a jamais fréquenté l’école Général Leclerc de Brazzaville, c’est un intrus qui a réussi à massacrer tous les vrais officiers de formation rectiligne militaire.

Les évêques du Congo ont lancé un appel le 2 février 2021 pour alerter le peuple congolais que la prochaine présidentielle de mars prochain ne va pas être différente de toutes les autres car rien n’a été fait pour croire le contraire. Le pouvoir a piqué une colère et demandé à son porte-parole de leur répondre avec violence verbale suivie de violence physique sur le neveu du Mgr ABAGNA MOSSA pour faire taire la voix du peuple chrétien en errance qu’ils représentent enfin ! Ils ont très bien répondu au perroquet de service, voici les phrases fortes relevées dans cette longue réponse qui risque de faire taire à jamais ce porte-parole qui pourrait se cacher à Sibiti : « Le peuple en a marre de ces élections où les gagnants et les perdants sont connus d’avance. La véritable émulation a été étouffée. Il n’y a que dans nos pays où après avoir tenu tête au Président de la République sortant lors des élections, que l’on finit sa vie comme prisonnier politique.« 

Deux fils dignes du peuple congolais ont analysé et commenté le message des évêques congolais : https://youtu.be/vtp8Ssx_DHY

Pr EFL ancien membre de l’UGEEC au lycée Savorgnan, et de l’AEC à l’Université de Bordeaux, en exil politique et intellectuel dès mon arrivée en France le 26 septembre 1976, fondateur de plusieurs associations politiques congolaises dans la diaspora combattant la tyrannie de Sassou le roi et empereur des MBochis d’Oyo.

Souvenirs de notre jeunesse très engagée au lycée Savorgnan de 1971 à 1973


Venu du lycée Chaminade donc Chaminadien de la 6ème à la 3ème, après mon admission au BEPC ou BEMG, je suis affecté au lycée Savorgnan sans en avoir fait la demande, Un adolescent assez maigre, enfant de Poto-Poto de la rue MBakas après le cinéma va parcourir plusieurs kilomètres souvent à pied avec un groupe d’élèves allant à Chaminade, au collège Mafoua Virgine ou au lycée Savorgnan. Moi c’était pour aller en cours à ce lycée des Blancs situé à Bacongo près du marché total et du cinéma RIO. C’est une preuve de folie de l’administration scolaire brazzavilloise. N’ayant aucun choix ni recours, je m’en contente. Comme on dit contre mauvaise fortune, bon coeur ! Et finalement je vais y trouver du bonheur, beaucoup de bonheur d’adolescent bosseur en classe aimant les récitations de Victor Hugo en les animant avec véhémence. Ce qui faisait amuser mes camarades de classe qui me surnommaient « Victor Hugo » ! Une reconnaissance qui valait de très bonnes notes en français avec lui professeur de français qu’on appelait « français fort ». Mon ancien ami de classe de 5ème 5 Théodore MBemba, m’a dit que c’était le père de notre cadet Fortuné Kouzonzissa. J’étais donc un agitateur à Potal et en dans toutes classes tout en étant un très bon élève parmi les meilleurs de la classe de la 6ème en terminale parcourues comme une flèche des pygmées.

A Savorgnan je m’y trouve avec Mario décédé l’année dernière d’hypertension artérielle mal traitée à Luanda, il avait été un aîné et mon ami de quartier, réfugié Angolais et militant de MPLA d’Agostino Neto. C’est un grand réconfort ! Puis je découvre mon frère Pierre Eboundit y est aussi. Benjamin Loukakou classe de classe en 5ème 5 à Chaminade et Théodore MBemba qui portait un plâtre sur une jambe. Le cercle de connaissance s’agrandit entre les anciens élèves de Chaminade et de Poto-Poto. Finalement plusieurs élèves de Potal sont dans la même situation que moi. En classe de seconde, les cours se terminent à 13h00, il faut rentrer à Poto-Poto à pied sous un soleil torride. Je m’engageais dans l’UGEEC pour assurer la rédaction du journal mural du lycée et pour attendre que la chaleur de la journée baisse. Cette lourde tâche incombait à Benjamin Loukakou, l’ancien maire de Moungali et moi. Après la classe, nous restions au lycée pour rédiger le journal dont le texte était écrit par le bureau de l’UGEEC dirigé par Blaise Bilombo ou Asselame ou le secrétaire général. Nous avions eu une jeunesse très heureuse, très politique et très créatrice artistiquement. La preuve est la création du groupe musical « le Groupe rouge » avec son meneur Audifax MBemba, et ses élèves musiciens : Tobaly (le journaliste talentueux Jean Claude Kakou), Dr Simon Blaise Tchicaya mon aîné et frère de Potal, et pion au lycée Savorgnan que j’avais retrouvé à l’Université de Bordeaux, Samba Dellot etc… leurs noms m’échappent ! Quelle ambiance festive à Savorgnan avant les vacances scolaires intermédiaires !

Nos destins secoués par l’assassinat de Franklin Boukaka, les mouvements de grève historique menés par l’UGEEC de 1972, la colère de Ngouabi envers les lycéens lors de la violence portée sur le proviseur Ollassa qui se prenait pour hercule, à la fin de l’année scolaire de 1973, le succès au Bac fait éclater tous ces adolescents heureux unis par cet établissement détruit par l’illettré Sassou, nous nous envolâmes vers d’autres cieux pour devenir l’élite de demain. La France nous accueillirent dans ses Universités, beaucoup rentrèrent au pays à la fin de leurs études et d’autres comme ont fait le choix de l’exil politique car le pouvoir au Congo était pire que sous Marien. Sassou élimina un à un Marien et Yhombi pour prendre le fauteuil présidentiel jusqu’à ce jour ! Les évêques du Congo viennent de faire une déclaration avant la nouvelle mascarade électorale de 2021 que j’ai commenté avec Jean-Noël Mabiala : https://youtu.be/vtp8Ssx_DHY

De gauche à droite il y a Ndongo Mokana, en deuxième position, c’est Jean-Pierre Bemba mon ami de dortoir Paquebot de l’annexe du lycée Savorgnan, après c’est Ferdinand Mabouana Kombo (parent de Mgr Kombo) et le dernier à droite c’est « Bastos » Bahonda (décédé récemment en 2020 à Brazzaville), il a été membre du PCT et conseiller de NVouba.


Jean-Pierre Bemba cadre (décédé en 2012) (les deux photos publiées par son cadet sur Facebook

Informations complémentaires au lycée Savorgnan de 1971 à 1973 :

Le Groupe Rouge Orchestre du lycée Savorgnan (1971-1973)

Reportable du Pr EFL pour rendre hommage à Jean-Pierre MBemba

Le message historique des évêques du Congo en février 2021


Enfin les évêques du Congo-Brazzaville accusés de complices du tyran Sassou depuis de nombreuses ont surpris tout le monde pour nous prouver le contraire et de quelle manière ! Par leur message tombant au bon moment des enjeux politiques accaparés par Sassou depuis le 5 juin 1997, nos évêques ont une entrée dans l’histoire de ce pays vivant une succession de drames sans fin depuis le 18 mars 1977 lorsque le président Marien Ngouabi fut égorgé dans un bunker du centre-ville à 13h à l’heure du journal télévisé. C’est à cet instant que le chaos par bains de sang furent déclenchés par le sinistre ministre de la défense et ministre de le sécurité d’état, c’est Sassou Nguesso, un homme au passé très douteux puisqu’il fut renvoyé de l’école normale de Dolisie en 1958-1959 sans doute pour insuffisances intellectuelles. Il s’était retrouvé au chômage assez rare à l’époque. C’est le recrutement dans la jeune armée congolaise lancé par le Président Fulbert Youlou et le Vice-Président Jacques Opangault qui le sauvera de l’oisiveté citadine. Il n’a jamais fait la célèbre école dénommée « Général Leclerc » dont l’accès se faisait par concours d’entrée pour les élèves de CM2. Recruté dans la jeune armée d’à peine 400 militaires environ ayant à sa tête en tout et deux grands officiers : les commandants Mouzabakani et Moutsaka, tous originaires du Pool, le jeune chétif Sassou au teint très sombre en est très complexé, comme tout nouvel recru il est envoyé en formation en Algérie pour quelques mois. En rentrant il est vite bombardé de sous-officiers. C’est un tremplin pour l’avenir au sein de ce corps muet. C’est le commandant Marien NGouabi à la suite d’une grave divergence politique liée au conflit armé entre la Défense civile (milice politique du pouvoir de Débat) et les forces armées congolaises marginalisées sous le président Alphonse Massamba-Débat qui le lui permettra en l’associant à la conquête du pouvoir en juillet 1968 par Marien NGouabi. Il accède au pouvoir accompagné de ses proches frères d’armes parmi lesquels figurent deux grandes figures entourant Marien, c’est Yhombi frère d’armes depuis l’école Général Leclerc et Sassou l’intrus sans formation militaire contrairement aux deux autres. Ils sont tous originaires de la même région septentrionale et n’ont aucune connaissance politique pour gérer le pays vivant une grave crise politique et économique. C’est Sassou qui les aura un à un ! Quelle ironie du sort des officiers sortis de l’école général Leclerc.

Ngouabi s’installe au pouvoir avec ses frères d’armes malheureusement il fait une confiance aveugle à Sassou l’arriviste et à Yhombi. Il en paiera le prix par son assassinat le 18 mars 1977 dans son bunker. C’est Sassou son ministre de la défense qui en est le maître d’oeuvre pour avoir eu tous les pouvoirs de défense et de sécurité du pays. Il va s’installer

Voici le contenu des évêques du Congo :

Le prochain scrutin au Congo-Brazzaville sera-t-il transparent, crédible et apaisé ? Dans un message qu’ils ont diffusé hier mardi 2 février, les évêques du Congo ont fait part de ce qu’ils qualifient eux-mêmes de « sérieuses réserves » sur le scrutin prévu le 21 mars. « Notre peuple, écrivent-ils, est fatigué de ces élections qui fragilisent la cohésion sociale et entachent l’image de notre pays à l’étranger ». Quels sont les problèmes qui sont pointés, quelles sont les recommandations de l’Église ? Monseigneur Victor Abagna Mossa, archevêque d’Owando et porte-parole de la conférence épiscopale congolaise, est notre invité.

RFI : Dans le message que la Conférence épiscopale du Congo vient de diffuser, vous émettez de sérieuses réserves qu’une élection présidentielle apaisée, participative, transparente, libre et crédible puisse être organisée dans les conditions actuelles. Sur quoi sont fondées ces réserves ?

Monseigneur Victor Abagna Mossa : Demain, nous allons passer aux élections. Ce sera sûrement difficile puisque que tout n’a pas été fait. Où sont les listes (électorales, Ndlr) et est-ce que les listes disent la vérité ? Nous parlons de cartes biométriques, on ne les a pas. Avec le coronavirus, avec le confinement, les gens qui ne peuvent pas se mettre ensemble, il faut rester séparés… ce sera compliqué. Qu’est-ce qui va se passer ? On craint que ce ne soit pas bon.

Pour tous ceux qui n’ont pas pu lire ce message, qu’est-ce que vous craignez ?Les Congolais ont peur. Il y en a qui se préparent, il faudrait déjà aller dans son village natal pour être tranquille. Il y a cette peur-là. On craint que la paix ne soit pas là, ce que nous désirons le plus.

Les Congolais, écrivez-vous, ont de moins en moins foi dans le système électoral actuel. Qu’est-ce qui explique, selon vous, cette perte de confiance dans le système électoral ?Hier, ce n’était pas bon. On recommence encore la même chose. Vous pensez bien que l’on peut perdre la confiance. Est-ce que ceux qui votent sont vraiment ceux-là qui doivent voter ? Est-ce qu’ils ne votent pas à tel endroit pour aller voter encore à tel autre endroit ? Dans certains coins, il n’y a presque plus de population, mais on voit aux élections qu’il y a plein de monde. Qu’est-ce qui s’est passé ? Est-ce que les gens sont revenus seulement pour voter ? Tout cela nous fait faire des réserves. Ce que nous avons écrit, si ça peut aider le gouvernement et les responsables à s’améliorer ce serait très bien, qu’ils se disent : « Tiens, maintenant on va prendre au sérieux ce qu’on a à faire. Dans telle ville, il y a tel nombre d’habitants, voilà ceux qui peuvent voter ou pas. Il y en a qui sont morts, ce n’est pas ceux-là qu’il faudra faire voter. » Voilà, ce genre de choses. Qu’on soit un peu plus proche de la vérité.

Comment peut-on faire justement selon les évêques et les archevêques ?On n’a pas trouvé de solution, mais au moins on fait noter que telle manière d’agir n’est pas bonne. Il faudrait essayer de faire mieux, de faire quelque chose pour s’approcher un peu de la vérité.

Vous renouvelez dans ce message votre prise de position sur l’alternance d’y il a plusieurs années. Vous souhaitiez alors que « l’alternance au pouvoir devienne une règle intangible et immuable pour notre démocratie » et vous souhaitiez que, au Congo, on applique un mandat renouvelable une seule fois.

La position est là. On se dit que ce serait bien que ce soit une fois. Par exemple, pour l’impunité, il se pourrait qu’on s’habitue tellement avec ces personnes qu’on soit incapable de les sanctionner. Alors, si on fait une fois seulement, celui qui vient il faut qu’il travaille… et bien.

Est-ce que certaines actions urgentes peuvent être ou doivent être menées par les autorités pour avancer vers une élection transparente ?Si toutes les listes peuvent être prêtes avant et, que dans les localités, on sait qui pourra voter, je pense qu’il n’y aura pas de problème. Mais avec ce que nous avons dit, il y a peut-être encore quelques jours pour que le gouvernement fasse quelque chose et réalise ce qu’il peut réaliser avant ces élections.

Qu’est-ce qui motive cette prise de position forte de la Conférence épiscopale ?Simplement, on écoute les gens, on les entend qui se plaignent. Ceux qui sont dans le gouvernement ne peuvent certainement pas se plaindre comme d’autres, mais les autres se plaignent vraiment. Alors s’ils peuvent nous écouter ils penseront à tout Congolais et il n’y aura pas de problème.

Qu’est-ce qu’il faut changer dans la gouvernance du Congo selon la Conférence épiscopale ?On demande d’abord au gouvernement d’éviter la corruption et de se mettre un peu à travailler pour les défis dont nous avons parlé : que le peuple congolais puisse avoir l’électricité par exemple, qu’il soit soigné, qu’il soit éduqué… Ça c’est tout à fait normal. Ça sera déjà beaucoup.

Voici ci-contre le lien 1 à cliquer https://youtu.be/vtp8Ssx_DHY de l’analyse et les commentaires des dignes fils du Congo, défenseurs de la démocratie, de l’état des droits et de la justice, et du partage équitable des richesses nationales, il s’agit du Dr Jean-Noël MABIALA et du Pr Eugène-Fernand LOUBELO, des amis et frères proches du Général Jean-Marie Miche MOKOKO prisonnier du tyran Sassou depuis juin 2016 après un procès stalinien pour avoir été candidat à la présidentielle de mars 2016 à la demande du peuple congolais du Nord au Sud du pays. Il en a été le vainqueur incontestable car des millions de Congolais sur l’ensemble du territoire avaient voté massivement pour lui pour gagner brillamment cette présidentielle si Sassou avait cédé au jeu démocratique qu’il hait depuis juillet 1992 comme l’aurait fait le premier Milongo en son temps.

Et en dessous le lien 2 celui renvoyant à l’interview accordée sur RFI pour écouter le message audio (sonore des évêques).

Plus d’une semaine déjà depuis qu’il a rejoint ses ancêtres loin de N’Vinza, merci de tout cet héritage que tu nous as laissé !


Un Grand Homme a rejoint ses ancêtres auprès de Dieu le créateur le lundi 6 janvier 2020. Le Doyen Ouabari-Mariotti, son cadet en âge et ancien ministre de la justice aussi sous Lissouba lui a rendu un grand hommage que je résume par la phrase suivante : « Moudileno-Massengo a été l’un des meilleurs de leur génération« .  Et Lui disait en 1975 dans son ouvrage valant témoignage sur sa fin de collaboration (voir insertion ci-dessous) avec Marien NGouabi qui se servait de son expertise de Grand Juriste et son intelligence qui pouvait déstabiliser et dérouter tout un bataillon de militaires :

 

Je voulais dire merci d’avoir regardé 1323 fois en tout en moins d’une semaine les vidéos sur l’hommage rendu au Grand-frère, au père ou Grand-père Maître Moudileno-Massengo un Grand homme politique qui avait quitté le camp de la médiocrité de Marien Ngouabi et son équipier composé de Yhombi et Sassou dans son navire sans boussole qui s’est fracassé contre les falaises congolaises ! Je souviendrais toujours du conseil qu’il m’avait donné en août 2018 dans son salon : « Ta kouba, kâla mânima ! » devant Théodore Malonga, Fernand Mathias N’Dalla et mon frère de jeunesse au lycée Pierre Boudzoumou que j’avais invité de me rencontrer en août 2018 chez notre Doyen qui avait manifesté un étonnement de recevoir une personne étrangère chez lui ! Puis je l’avais rassuré d’avoir confiance en moi, il avait gentiment accepté ! Je peux vous dire la causerie avait été très haute qualité et bien animée par lui-même ! Son raisonnement toujours fort pointu !

Son décès m’avait surpris parce qu’avec un tel raisonnement ce jour là qui traduit un très fonctionnement cérébral, la mort rôde très loin de vous et de lui , sauf un accident de la vie ! Hélas !

Je ne dirais pas qu’il se repose en paix, phrase qui ne veut rien dire parce qu’un mort est passé du Vivant donc de l’organisme vivant à la matière inerte comme un objet divers pour l’éternité et qui restituera progressivement à la terre tous les matériaux dont il était composé. Ces matériaux sont de nature organique et minérale ! C’est un retour à l’état initial donc atomique de la matière moléculaire de notre corps au cours de sa transformation naturelle ! C’est une loi de chimie et du créateur Dieu : « rien ne perd tout se transforme ! » Et c’est de façon cyclique entre la terre et tous les Organismes vivants macroscopiques (visibles à l’oeil nu) et microscopiques (invisibles à l’oeil au microscope). Rappel à savoir par chacun d’entre nous !

Je n’avais pas envisagé partager le pot de remerciement par la famille parce que j’avais le train à prendre et la crainte de le rater à cause de cette longue de grève, je ne voulais pas prendre ce risque ! Si j’avais été là, j’allais apporter un témoignage devant ses enfants et les compatriotes congolais venus nombreux lui rendre un grand hommage à ce Grand Homme « l’un des meilleurs de sa génération » (propos tenu par l’ancien ministre de la justice Joseph Ouabari-Mariotti à son aîné dans un brillant article que j’ai publié sur mon site Internet : https://wp.me/ppXbS-W7 )

J’avoue que je suis encore troublé par son départ !