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Le processus de l’apparition d ‘une nouvelle dynamique politico-judiciaire  désignée « Convergence 92 » est  en cours  depuis Paris, ville des lumières, capitale du Congo libre.

Sous la coordination  de Maître Amédée Bernard NGanga, avocat au barreau de Paris, ancien enseignant chercheur à l’Université Marien Ngouabi et avocat au barreau de Brazzaville, la diaspora congolaise combattante est en phase de se doter d’un nouvel outil pour le combat politique. Il se basera sur la justice et le droit pour en finir avec les crimes, les injustices, le chaos économique et financier et surtout l’absence de démocratie universelle

La liste n’est pas exhaustive.

Le retour a l’ordre constitutionnel, exprimé  par l’instauration de la constitution du 15 mars 1992, est une exigence de tous les Congolais afin de retrouver le processus démocratique  né  de la Conférence nationale souveraine (CNS) en février 1990, elle avait été interrompue lors du coup d’état fratricide très sanglant le 5 juin 1997. Ce terrible coup de force a imposé  au fil des temps une tyrannie tropicale sévère avec à la solde d’une gouvernance de façade sans partage par le vainqueur de cette guerre, le sieur Khany d’Oyo et son clan jusqu’à ce jour.

Il y a de quoi voir l’installation d’une monarchie ou pouvoir héréditaire qui semble se dessiner dans le clan des M’Bochis d’Oyo, sous la « MBochinie » régnante avec arrogance, mépris permanent, étalage de richesses pendant les danses jouissives au sein du clan.

La diaspora congolaise  combattante de France  qui était en repli après la mascarade lors la présidentielle du 20 mars 2016, a subi les affres de la pandémie de Covid-19 en octobre 2020 et son lot de décès dans nos rangs, elle vient de sortir de cette longue léthargie.

En effet cette longue léthargie a pris  fin le  samedi 18 mars 2023 lors du grand  meeting de la plate-forme Convergence 92 à l’hôtel Kellermann à Paris 13 ème à la Porte d’Italie au 17 boulevard Kellermann. C’est un meeting commémoratif des 45-46 ème anniversaires des douloureux événements du 18 mars 1977, suivis du procès stalinien en janvier – février 1978. Le peuple congolais et les nombreuses familles très éprouvées ont subi d’énormes conséquences sur le plan social, économique et juridique. Il fallait nous retrouver maintenant à cette date d’anniversaire pour honorer toutes les victimes des crimes de Sassou le seul instigateur de cette tragédie historique. Nous savons tous qu’il avait été aidé militairement pour s’installer au pouvoir.

Pour nous retrouver une campagne d’informations a été menée auprès des Congolais par le truchement des réseaux sociaux afin qu’ils viennent nombreux au meeting de Convergence 92 pour commémorer cette date historique du début de la tragédie congolaise qui continue jusqu’à ce jour d’anniversaire. Il y a eu beaucoup de monde qui a répondu à cette invitation lancée sur les réseaux sociaux et comme sur la chaîne YouTube du Pr EFL, ce vétéran de l’engagement en politique sur sa chaîne comme le montre ce lien ci-contre (https://youtu.be/4cUaWngAQQw).

C’est le grand artiste musicien  Hardos Massamba  Mouana Nimbi  qui a couvert les intermèdes musicaux  et a assuré le volet culturel et musical de l’événement. 

Il a été retransmis tant  en direct par les  médias tel que Ziana TV, la chaîne au coeur des diasporas, Afrikili, votre chaîne d’opinions, FRTDH  depuis Genève. 

Il faut ajouter aussi noter la présence des photographes professionnels tel Bavon Photo, et RPL Images, qui ont couvert le meeting, et en vont assurer le SAV.

Parmi cette multitude  des professionnels de l’imagerie événementielle, l’on ne saurait oublier le média :  » Lumières du Congo » managé par le frère Bernadin Dilou.

Au total, il y a eu quatre brillantes interventions, il s’agit de :

– celle de l’association :  » Les enfants d’ Afrique « 

– suivi de l’association  : »La vérité, rien que la vérité « 

– aussi, celle du professeur Eugène-Fernand Loubélo, en tant qu’individualité politique qui a lancé un vibrant appel au peuple congolais endormi pendant 46 ans .

– la dernière intervention a été celle de Me Amédée Bernard NGanga en sa double casquette : President de l’ARCI (Association Congolaise pour le Refus des Crimes et des Injustices ), et Coordonnateur de la dynamique Convergence 92.

 La modération du meeting était assuré par Bernadin Dilou, administrateur du média Lumières du Congo qui d’ailleurs pendant le pot de l’amitié a ouvert un point presse afin de recueillir les sentiments de plusieurs personnes morales et personnalités.

Images des Congolais dans la salle pendant le meeting historique et notez bien l’ambiance heureuse sur les visages.

Ci-dessous c’est l’appel vibrant au peuple congolais endormi depuis 46 ans par le Pr E-F LOUBELO en deuil pour la tragédie nationale.

Nous remercions tous ceux et celles qui se sont déplacés pour assister au meeting historique de Convergence 92 à Paris qui relance le combat de : la conquête de l’état des droits, de la justice équitable, de la restauration de la démocratie confisquée depuis le 5 juin 1997, et la poursuite de tous les criminels depuis le 18 mars 1977 car tous ces crimes sont imprescriptibles, ils devront tous passer la barre d’un vrai tribunal.

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Mise en garde aux lecteurs et lectrices

Cet article n’est pas une charge contre une personne mais est une réponse aux injures ! Elles ont été écrites par deux jeunes femmes que je ne connais pas du tout. Je présente donc les faits pour que les lecteurs les découvrent et les comprennent. Mais avant d’arriver à ce stade, j’ai chargé une personne qui connaît ces deux filles Gloria Edzouta et Doris Mounzenzé pour qu’elles présentent leurs excuses en public c’est-à-dire là où elles ont été écrites. Elle a bien tenté de le faire mais sans succès. Possédant un outil de communication, j’ai été contraint d’utiliser ma plume et ma vitrine pour rédiger et publier cet article. Elles ont été prévenues de mon intention par la personne que j’ai chargée de les contacter. Le silence étant un refus, l’article publié présente les posts échangés par capture d’écran, ils sont affichés ici sans trucage.  Le climat devient malsain de la part de certains membres de la diaspora congolaise parce qu’ils découvrent le combat politique sans respecter les règles déontologiques ou de microsociété qu’est la diaspora. Certains d’entre eux arpentent dans les allées des hôtels parisiens pour leurs propres intérêts personnels. ils vont y rencontrer les ministres illégitimes du pouvoir dictatorial que nous combattons à Paris. Cela ne me gêne pas que les gens cherchent à rejoindre le clan Sassou mais qu’ils ne s’en prennent pas à ceux qui le combattent ! Les preuves sont les éléments matériels pour confondre ceux qui provoquent, offensent… les esprits sains de la microsociété.  

Je ne règle de compte à personne, mais c’est un début de défense présenté ici ! Tous ceux ou celles qui vont procéder de la même manière que ces deux femmes auront toujours une réponse appropriée de leurs agissements. Ici  point de morale ou de conseil de quiconque. 

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Doris Mounzenzé

C’est vrai que les grands militants politiques sur la place de Paris sont tous connus depuis de nombreuses années, mes archives peuvent en témoigner. Mais depuis Sassou a manifesté son intention de changer la constitution de 2002 pour briguer un troisième mandat interdit par la loi fondamentale, il y’ a eu soudainement une arrivée au sein de la diaspora congolaise de Paris de nouvelles têtes d’hommes et femmes assez jeunes et plus ou moins agitées. Le nombre de manifestants a doublé entre fin 2014 et l’été 2016. Chaque week-end, il y a eu une manifestation à Paris. Plusieurs chapelles ou associations sont nées pour organiser des manifestations sans concertation ni coordination comme nous les anciens militants de Paris faisions. Un bilan était tiré après chaque manifestation. Entre le printemps 2015 et le printemps 2016, il y a eu une explosion des manifestations sur les grandes places, grandes avenues de Paris et des réunions en salle  notamment dans les hôtels et les salles louées à la rue Dunkerque, ou de la rue Maurice Ravel dans le 12 ème arrondissement de Paris.

Sur les réseaux sociaux, les posts ou messages ne manquent pas pour défendre ou critiquer l’opposition quand on compare avec ce que les Gabonais et les Congolais de la RDC ont fait, il y a de quoi se poser des questions sur nos amis de l’opposition dont une partie croupit en prison sans qu’il y ait des manifestations  pour braver le pouvoir en place. Ils risquent d’y rester plusieurs années comme Yhombi. Dans un tel climat, il faut être absolument du côté du peuple congolais, gabonais et de la RDC car toute l’Afrique centrale est un foyer de dictateurs qui vont rester au pouvoir à vie avec un risque de transmission dynastique aux descendants. Nous devons être solidaires et vigilants. Curieusement quelques congolais de la diaspora rencontrent des ministres de M. 8% dans les hôtels parisiens. Les images et vidéos sont diffusées sur les réseaux sociaux, ils sont qualifiés de collabos. Parce que si l’on considère que Sassou, M. 8%, n’a pas gagné l’élection présidentielle anticipée du 20 mars 2016, et le principal gagnant le Général Jean-Marie Michel MOKOKO a été incarcéré dès le 16 juin 2016 à la maison d’arrêt de Brazzaville après avoir reçu trois convocations à la DST du petit procureur hautain Oko Ngakala parent du dictateur sanguinaire Sassou. Le valeureux officier militaire acteur principal de la conférence nationale souveraine en 1990, J3M n’est pas le seul prisonnier politique, il y a de nombreuses personnes proches des candidats qui y sont incarcérées pour raisons fallacieuses. Le rapport de mon ami d’internat au lycée Savorgnan, Maître Massengo-Tiassé sur la violation des droits de l’homme a été déposé au siège de l’Onu à Genève.   Le Congo, premier pays révolutionnaire d’Afrique noire  et son peuple vivent un état de siège depuis 2015 à l’approche de la violation de la constitution du 20 janvier 2002 par le menteur national et international qu’est Sassou ! Côtoyer dans  les grands hôtels parisiens les émissaires de Sassou, M. 8%, est donc une façon de reconnaître la victoire validée par les 9 membres  de la cour « royale » constitutionnelle sous la menace d’un canon d’arme de guerre à la tempe de chacun d’eux le 4 avril 2016. Par conséquent ces collabos disséminés au sein de la diaspora doivent quitter les rangs de vrais combattants pour la restauration de la démocratie au Congo et en Afrique centrale. Quelques égarés ayant rencontré les « ministrons de M. 8% » s’attaquent sur les réseaux sociaux les membres affirmés de l’opposition de la région parisienne, en proférant des injures ! C’est l’objet de cet article car deux jeunes femmes sont démasquées par moi en s’attaquant à moi. J’ai découvert  qu’elles ont rencontré récemment dans un hôtel parisien le « ministron » Talisman ou Taximan, elles étaient assises ensemble. Ce sont les deux jeunes femmes et leur aîné qui ont posté leurs messages à la chaîne. Les injures ont été faites en public la réparation en s’excusant ne pouvait qu’être faite sur le même terrain, mais non pas en aparté ni au téléphone. Un délai a été fixé avant publication de cet article. Une personne a été chargée de  médiation. Rien n’a abouti ! Donc les injures sont maintenues et la réponse appropriée est bien ce texte avec preuves à l’appui.

Gloria découvrant les grands hôtels parisiens

 

Tout a commencé par une vidéo postée sur Facebook par Georges Mpassi samedi 24 septembre 2016. Je poste un message car pendant que nos frères Gabonais sont en colère et en pleur, il y a eu une réunion dans un hôtel de banlieue parisienne, que l’on peut qualifier de secrète sans se tromper car il n’y a pas eu de communication sur sa convocation et sa tenue au sein de la diaspora dans laquelle il y a plusieurs associations politiques surtout à Paris. C’est sur Facebook, que les compatriotes ont vu les photos de ceux qui ont pris part à cette rencontre du « Nouveau Congo ». Mécontent, Georges diffuse sa réaction par une vidéo pour critiquer certaines personnes qui y ont été. Quelques minutes plus tard des posts d’injure à mon égard commence, c’est Gloria Edzouta qui commence ! Les quelques extraits de capture d’écran sont présentés dans le texte. Gloria Edzouta que je découvre, il y a quelques mois à peine dans les réunions, je ne la connais pas, de loin elle paraît longiligne au bassin étroit, assez agitée pour se distinguer des autres femmes. Elle n’a pas visiblement les mêmes objectifs que ceux ou celles qui mènent ce combat contre Sassou et son clan depuis de nombreuses années. Elle est arrivée dans le combat au sein de la diaspora qu’en 2015 ou 2016. Son attitude étonne, choque, son goût pour les grands hôtels et les boissons alcoolisées la rend de plus en plus agitée. D’autres milieux la fascinent plus que le combat qu’elle devrait mener dans la salle étouffante de la rue Dunkerque à Paris ou devant la siège de Total Elf à la Défense. Quant à Doris Mounzenzé sans doute célibataire, je ne l’ai jamais rencontrée donc je ne la connais pas. C’est dans la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux que je découvre son visage au sourire incontrôlé aguichant le « ministron de M. 8% ».  A ma connaissance, elle n’a jamais été vue dans les manifestations parisiennes, elle a préféré la rencontre avec une conseillère de Sassou pour évoquer « le Vivre ensemble« , un appât de Sassou pour les Congolais et Congolaises en errance à Paris et en France. Et par la suite avec le « ministron de M. 8% » comme le montre la photo.  Elle tient à vendre, sans doute son charme avec sa poitrine plate,  son visage ayant un maquillage axé sur les lèvres et les sourcils redessinés, auprès des envoyés de Sassou à Paris pour tomber sur un coeur à prendre et atterrir enfin à MPila à Brazza ou à Oyo via l’hôtel Alima Palace.

Le bonheur se construit honnêtement et discrètement en faisant le choix bien réfléchi :

Post 1

Post 1 : Mon premier post répondant à la vidéo de Georges. Quelques instants après le post de Gloria d’une insolence inouïe ! Elle est grossière et vulgaire.

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Post 3 : Lot d'injures alors que je ne les connais pas !

Post 2 : Succession de messages de Gloria Edzouta, Doris Mounzenze et Marie-France Edzouta. Injures de Gloria et Dorisca. Mots clés : Lâche, Pauvres types, découvert bancaire, crise identitaire, manger foufou, vieux grincheux, machin etc… Je ne les connais pas !

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Post 3 : Comme deux droguées, elles injurient

Post 3 : Enchaînement d’injures par Dorisca et Gloria. L’intellectuelle Dorisca parle de mon livre qu’elle n’a acheté ni lu. Quel culot ! Elle ne sait pas ce qu’elle écrit ou recopie. Gloria et Dorisca continuent les injures ! Un défoulement comme deux droguées.

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Post 4 : Un trio formé d'une aînée et de deux jeunes.

Post 4 : Marie-France revient pas pour les apaiser mais les relancer. La complicité est établie qu’elles sont bien liées. Les jeunes injurient, la sage ne le fait pas cela et ne les arrête ni les réprimande ! Qui ne dit mot consent !

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Post 5 : La provocation des deux jeunettes continue.

Post 5 : Je félicite Dorisca d’avoir évoqué mon livre, elle revient aux injures. Gloria enchaîne.

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Post 6 : Une bande de trois femmes unies se sont dévoilées, les jeunes injurient !

Post 6 : Marie-France revient pour parler des problèmes des hommes, elle les relance. Dorisca et Gloria continuent dans les injures. Une bande de trois femmes unies se sont dévoilées, les jeunes injurient, la sage les relance !

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Complicité évidente pour injures et agressivité gratuites et téléguidées et couvertes.

Une curieuse complicité évidente de ces trois femmes à l’hôtel parisien devant Talisman-Taximan (de gauche à droite : Gloria, Dorisca et Marie-France à côté du ministre Taxi-man illégitime de M. 8% à Paris). L’enchaînement de leurs posts est une suite logique .

Leur grande soeur partisane du « Vivre ensemble », un appât des esprits fragiles à Paris a bien cautionné ses injures en ne réagissant pas et elle est donc une complice d’injures publiques. Finalement cette preuve par l’image ci-dessus montre que c’est une association d’injurieuses publiques soudées et habillées en blanc comme pour leur première communion, mais c’est pour le rendez-vous dans un hôtel parisien.

Elles sont mal tombées, un natif de Potal, maîtrisant la communication et tous les outils modernes de communication depuis octobre 1997, venait de poster un message sur une vidéo de Georges, s’est fait injurier comme le montrent les images de captures d’écran. La demande d’excuse n’ayant pas abouti, la publication de la dénonciation des comportements d’anti-valeur arrivant en France s’impose pour arrêter ces agissements téléguidés par le clan de M. 8% ! 

Tout lecteur devra tirer toutes les conséquences de ce type de violence verbale gratuite en utilisant un clavier pour s’attaquer à tout le monde, il faut toujours avoir un huitième sens quand on agit mal en société ! Internet je l’utilise depuis son entrée en France en automne 1997-98, mon premier site Internet fut créé en octobre 1997-98, quant aux réseaux sociaux, outils de communication instantanée, je m’en sers dès son entrée en France en 2005-2006, elle est peut-être une arme redoutable pour ceux qui savent s’en servir par compétence et maîtrise !

Le droit de réponse est accepté sur mon site. Elles vont apprendre à leurs dépens qu’un adulte a toujours plusieurs longueurs d’avance, que dans la diaspora tout le monde n’a pas les mêmes compétences, et c’est normal donc il ne faut pas se fier aux manifestations et aux réunions où tout le monde se mélange pour la même cause politique pour croire que nous sommes tous pareils. 

Un rappel historique aux nouveaux venus dans le combat légitime de notre peuple depuis la création du monstre PCT : Voici l’un de mes articles qui avait rendu Sassou et son entourage fous et malades en avril 1998 ! Le voici : http://loubs.perso.neuf.fr/CB2.html

Je suis donc l’un des opposants le plus farouche à ce psychopathe et fou dès le 5 juin 1997 jusqu’à sa chute tant attendue par le peuple congolais, soit 92% ! Qui a dit, fait ou écrit mieux dans la diaspora congolaise !

Evitez de mettre tout le monde dans le même sac comme le fait le villageois Sassou M. 8% !