Sassou est le plus grand tribaliste du Congo et d’Afrique noire : voici les preuves !


Arrivé au pouvoir dans les bagages du régionaliste Marien NGouabi en juillet 1968, c’est un groupe de militaires qui s’était opposé au président Massamba-Débat après la guerre entre l’armée congolaise et la Défense civile, milice sinistre du pouvoir en place entre août-septembre 1963 et juillet 1968. Sassou serait un agent secret français d’après la persistante rumeur qui avait été choisi au début des années 60 par le service d’espionnage français sur la base de son grand complexe d’infériorité et de son insuffisance de niveau scolaire limité en classe de 5 ème voire 4 ème. La tentative de passer à l’école de formation des instituteurs à Dolisie se solde par un échec pour inaptitude intellectuelle. Il en sort sans diplôme de qualification contrairement à son épouse Antoinette Tchibota qui à sa sortie est diplômée et affectée à l’école primaire de la Grande poste de Brazzaville au centre-ville. Aucun Congolais à ce jour ne s’est réclamé d’avoir été l’élève de Sassou dans une école quelconque au Congo, ni un collègue de Sassou ayant apporté un témoignage sur cette partie de sa vie. Renvoyé de MBounda, cette école de formation n’a gardé aucun souvenir de lui, il est au chômage au début des années 60. C’est à l’appel lancé de recrutement de jeunes congolais pour remplacer le départ des Français après l’indépendance par le président Fulbert Youlou et son vice-président Jacques Opangault qu’il doit son salut en intégrant la nouvelle armée congolaise embryonnaire de 100 militaires et six officiers sortis de l’armée française. Il intègre l’armée et part en formation qui est assurée par les instructeurs français en Algérie pour quelques semaines. Au retour il découvre que les deux officiers les plus gradés des forces armées congolaises (FAC) sont les commandants Mouzabakani et Mountsaka tous originaires du Pool comme la plupart des cadres post coloniaux dans l’administration congolaise naissante. Ces deux grands premiers officiers issus de l’armée française n’ont jamais bénéficié du grade de Général sous Sassou une fois au pouvoir, il les écrasera jusqu’à leur retraite mais il nommera les plus médiocres de sa tribu au grade de général d’armée pour rattraper le retard dans la quantité des cadres originaire du Nord du pays ! Il ignore par manque d’analyse qu’il s’agit d’un problème démographique entre le Sud et le Nord.

Cette image montre le maigrelet Sassou en formation tenant maladroitement avec ses doigts décharnus le téléphone de communication. C’est dans l’armée que Sassou l’illettré et le dernier de sa génération va creuser son sillon souterrain pour éliminer un à un dès le 18 mars 1977 tous les vrais officiers de carrière complète dans l’armée depuis l’école militaire des enfants de troupe, la fameuse école Général Leclerc de Brazzaville au centre-ville. Il avait commencé par son mentor Marien NGouabi égorgé comme un mouton dans son bunker hautement surveillé en plein midi aux heures de repas. Pour couvrir son crime odieux, il va accuser et désigner les Lari-Kongo comme étant les assassins du commandant Marien NGouabi. Au petit matin de Florent Tsiba du CMP (Comité militaire du parti), nombreuses victimes bien choisies vont être massacrées sous ses ordres bien planifiés. Pour calmer les Kouyous l’ethnie de Marien NGouabi, il poussera le naïf Yhombi le parent de Marien de prendre le poste de président de la république. Heureux d’y être il va montrer son caractère condescendant dans l’armée et sur les populations congolaises et étrangères notamment les Ouest Africains vivant paisiblement depuis des décennies. Il va multiplier des incidents diplomatiques. Sassou préparé par le service français va le démettre de ce poste et le jettera en prison sous forme de résidence surveillée dorée surveillée pire que le lait au feu pendant 11 ans. Dès février 1979 Sassou s’installe au pouvoir et offre à la société Elf Aquitain le boulevard d’exploiter le pétrole congolais qu’aucun président prédécesseur, ni Massamba-Débat, ni Marien NGouabi ne voulait brader à cette société française sans avoir des cadres congolais formés et très compétents dans ce domaine complexe de la pétro-chimie. Sassou avait été choisi et corrompu pour ouvrir les vannes du pétrole du Congo à Elf Aquitain qui deviendra Total-Elf en s’étant bien enrichi sous la présidence de Sassou dès 1979 à nous jours. C’est l’avénement de la démocratie déclenché par François Mitterrand à la Baule en 1989 que les pays du pré-carré français vont se lancer dans les conférences nationales souveraines pour instaurer la voie démocratie dans chaque pays sous le régime de parti unique et dynastique. Au Congo c’est la grande fièvre de l’instauration de la démocratie. Deux piliers vont lâcher Sassou : c’est le jeune chef d’état major Jean-Marie Michel Mokoko qui contrôle l’armée et coupe le cordon ombilical avec Sassou le président du PCT, et le syndicaliste à vie Bokamba Yangouma le président de la CSC qui demande à ses militants de soutenir la démocratisation de notre pays. Privé de ces deux piliers et partenaires, Sassou est déshabillé et laissé nu comme un ver de terre ! Un gouvernement de transition est mis en place, il est dirigé par André Milongo pendant 18 mois. Le gouvernement de transition organise la première présidentielle est organisée en juillet 1992 après un vote de la constitution de mars 1992 pour laquelle tous les Congolais avaient massivement partout au monde. A Bordeaux, nous avons voté au consulat du Congo à Villenave d’Ornon.

Trois candidats vont s’affronter dans les urnes, chose qui se produit pour la première fois au Congo. Il s’agit de l’intellectuel Pr de Génétique Pascal Lissouba, de l’illettré devenu soldat, c’est Sassou Nguesso, et un ancien employé de l’administration, c’est Bernard Kolelas. Au premier tour le faux président sortant décrié à la conférence nationale souveraine est battu voir enterré. C’est Lissouba qui affrontera Kolelas au second tour. Sans surprise Lissouba gagne l’élection démocratique et historique après l’indépendance en août 1960. C’est la première ! Finalement le démon Sassou enterré à peine de 3 cms au pied va sortir et chercher à se venger pour reprendre le pouvoir qui est le sien par une guerre fratricide déclenchée le 5 juin 1997 jusqu’en octobre 1997. Aidé par Chirac et l’armée angolaise de Dos Santos, Sassou finira par la gagner grâce à ces appuis militaires aériens. Il va s’installer au pouvoir dans un pays très dévasté, dépeuplé et très meurtri ! Des corps des populations massacrées jonchent le sol congolais dans les quartiers des villes, dans les forêts dans les cours d’eau. Il y a plusieurs centaines milliers de morts. Aucune administration congolaise bien que désorganisée totalement voire détruite ne donnera le chiffre exact ou approximatif de morts. Le million de morts n’est pas loin en tenant compte les décès post-conflits pour diverses maladies et carence alimentaire. Depuis octobre 1997, Sassou s’est imposé comme l’occupant par effraction dans un bain de sang du palais du peuple. Ayant retrouvé son fauteuil perdu par la voie démocratique, il va tout abroger pour se donner tous les pouvoirs et devenir le maître absolu du pays pour en faire une monarchie des MBochis d’Oyo avec une transmission de fauteuil de père en fils pour montrer la dominance de cette tribu de bons à rien sauf les crimes, le pillage et le sexe sans limites. Sassou totalise 100 enfants avec des femmes dont la plus célèbre est la veuve son frère d’armes NGouabi, sa victime qui avait été égorgée, c’est Céline NGouabi avec laquelle il a eu deux descendants. Il venait d’organiser un mariage de leur fille en 2019 ou 2020 à Brazzaville. Le secret de cette union incestueuse ou démoniaque est sortie des ténèbres pour faire taire les rumeurs de cette relation vieille de plus 45 ans !

En décembre 2020 avant la Saint-Sylvestre, pour conserver à jamais le pouvoir au sein du clan des MBochis d’Oyo, il a nommé plusieurs généraux des Forces armées congolaises comme le montrent les documents ci-joints suivants :

Choqués par ses nominations très tribales au sein de l’armée nationale, les Congolais sont très indignés et choqués car ils découvrent que Sassou est le plus grand tribaliste du pays et il le montre sans se cacher. Plusieurs analystes de la situation politique congolaise pensent que le tyran prépare à installer son fils au pouvoir bientôt se sentant de plus en plus diminuer, il veut l’installer avant qu’il soit totalement impotent ! C’est pour cela qu’il a nommé des généraux qui se mettront au service du fils pour le protéger s’il y a des coups d’armes à feu sur son rejeton parce qu’une révolte pourrait se déclencher quelque part surtout au sein du clan paternel. Les Congolais aperçoivent une certaine animosité entre le fils Christel Sassou de mère originaire de la RDC, nommé ministre pour le mettre sur la rampe de lancée et l’amiral Jean Dominique Okemba, le neveu officier militaire du père, sans formation militaire de base. Il est le second grand maître franc-maçon après le plus grand maître franc-maçon du Congo et d’Afrique qu’est Sassou, le Dieu de la franc-maçonnerie au Congo. Okemba est le premier fidèle et le premier garde-corps de l’oncle, le roi des MBochis d’Oyo, le président à vie du Congo.

Depuis le 18 mars 1977, Sassou a pris et confisqué les clés du Congo qu’il dirige en contrôlant tous les rouages militaires et administratifs. Aucun coup d’état ne peut s’opérer au Congo sous son règne ! Il en est sûr pour avoir été le chef suprême de la sécurité au Congo sous Marien jusqu’à maintenant. Aidé par la Françafrique, il se sent invulnérable ! La preuve il a terrassé Lissouba par les moyens militaire angolais et français. Il est au pouvoir jusqu’à la fin de sa vie, croit-il, la peur des Congolais des armes de guerre la rassure chaque jour. Mais si jamais le fils est installé au pouvoir, les Congolais pourraient-ils se réveiller pour tout balayer et chercher à restaurer la démocratie volée par le clan Sassou le 5 juin 1997 et les juger publiquement tous ?

Qui vivra, verra la suite et la fin probable de cette tragédie dont le seul maître est Sassou, valet de la mafia économico-financière française depuis le 18 mars 1977 !

Publication de Pr EFL, Neurophysiologiste, Physiologiste, Ecrivain. Natif de Potal, Ancien étudiant Bordelais membre de l’AEC (section territoriale de la FEANF) en octobre 1976.

Laisser un commentaire